J'ai été ravi de lire "La Reine Maudite". Ce troisième tome de la série Septimus Heap m'a tenu en haleine du début à la fin.

Ce que j'ai particulièrement aimé, c'est la façon dont Angie Sage a réussi à enrichir l'univers magique déjà captivant de la série. L'intrigue autour de la Reine Maudite est complexe. L'idée de la malédiction qui menace l'équilibre du monde magique m'a vraiment accroché, et j'ai trouvé que l'histoire était pleine de suspense. Les personnages continuent d'évoluer. Septimus, Jenna et leurs amis sont confrontés à des défis encore plus grands, et leur courage et leur loyauté sont mis à l'épreuve. J'ai adoré la façon dont leurs relations se développent et comment ils font face à leurs peurs et à leurs obstacles.

La plume d'Angie Sage est toujours aussi intéressante, avec des descriptions qui m'ont permis de me plonger dans cet univers magique. Les rebondissements sont bien dosés, et chaque chapitre révèle de nouvelles couches de l'intrigue. En somme, "La Reine Maudite" est un excellent ajout à la série Septimus Heap. Il combine magie, mystère et émotions et je suis impatient de découvrir ce que l'auteur nous réserve dans les prochains tomes.

J'ai vraiment adoré "Le Grand Vol". Ce deuxième tome de la série Septimus Heap m'a totalement captivé dès le début. Angie Sage a su maintenir le même niveau de magie et d'aventure que dans le premier livre, tout en ajoutant de nouvelles dimensions fascinantes à l'histoire.



L'intrigue est pleine de rebondissements inattendus, ce qui m'a tenu en haleine à chaque chapitre. J'ai particulièrement aimé voir comment les personnages que j'avais déjà appris à connaître évoluent et se développent. Septimus Heap, avec ses nouvelles aventures, m'a encore plus intrigué, et j'ai trouvé que les défis auxquels il est confronté sont à la fois stimulants et passionnants. C’est exactement ce que je cherchais pour continuer à explorer cet univers fantastique.

Tandis que Septimus retrouve sa vie et poursuit son apprentissage auprès de Marcia, c’est son frère Nicko qui est resté coincé dans le passé avec Snorri dans ce quatrième tome de Magyk. De vieux documents mettent Jenna et ses amis sur sa piste, mais le chemin jusqu’à lui sera semé d’embûches.



Après avoir touché le fond avec La reine maudite, le niveau de la saga semble remonter un peu. Et par « un peu », comprenez que c’est juste très mauvais, en lieu et place d’une honte absolue comme le précédent volume.



Au moins, on échappe à l’humour scatophile, et les personnages ne provoquent pas une vague de problèmes et de calamités en raison de leur seule connerie. Oh, ils ne sont toujours pas fute-fute, mais je n’ai pas eu envie de leur fracasser le crâne à chacune de leurs interventions pour limiter les dégâts, c’est preuve qu’il y a du mieux.



J’ai même réussi, contre toute attente, à m’attacher à l’un d’eux, en la personne de Moustique. Ses déboires et ses sentiments pour Jenna sont touchants. Septimus, lui, est… désespérément Septimus, dans le sens le plus linéaire du terme, et la princesse a globalement l’utilité d’une plante verte, mais eh ! Un sur trois, c’est déjà énorme !



L’autre point pas trop négatif avec cet opus, c’est qu’il est le premier à ne pas donner l’impression d’être « rajouté ». Les autres tomes bouclaient leur boucle sans appeler une suite, à l’exception du précédent, ce qui fait que celui-ci possède un vrai point de départ, et pas un scénario tout droit sorti d’un chapeau…



… Ou presque. Parce qu’au-delà des éléments susmentionnés, l’auteur continue de s’enliser dans ses travers, et par travers, j’entends son culte du superflu. Elle a trop de personnages, qu’elle fait trop partir dans tous les sens, pour au final les balayer en quatre lignes. Les batifolages de Silas dans la forêt, le retour éclair de Simon, l’entreprise de Stanley…, et surtout, surtout l’interminable introduction de Merrin Mérédith qui elle-même sert d’introduction au nouvel antagoniste qui lui sert… Eh bien, à rien.



Et quand je dis à rien, je pèse mes mots. Il faut attendre la moitié du livre pour qu’il envoie Septimus se perdre dans une quête périlleuse, qui se trouve piiile coïncider avec l’aventure dans laquelle il devait justement se lancer en compagnie de Jenna. Cette manigance n’a aucun intérêt, aucune conséquence. Elle ne fait que rallonger un récit qui pullule déjà de détails et de sous-intrigues inutiles.



Allez, plus qu’un tome dans ma PAL, et je me sentirai enfin libre de laisser cette saga derrière moi. Puisse-t-il se révéler dans la même veine que celui-ci, c’est-à-dire pas trop atroce, c’est tout ce que je demande !
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𝓡𝓮𝓼𝓾𝓶𝓮

Il y a 10 ans le magicien Silas Heap est revenu chez lui avec un bébé caché dans les bras. Cet enfant était abandonné dans la neige et c’était une petite fille. Adoptée dans la famille du sorcier sous le nom de Jenna elle ne connaîtra jamais son histoire et personne n’apprît jamais d’où elle venait ni qu’elle était son histoires

10 ans plus tard, la famille Heap est de nouveau dans une fâcheuse posture puisque par l’intermédiaire d’une très grande sorcière dont Silas était autrefois l’apprenti, ils apprennent que leur fille adoptive est recherchée par des tueurs professionnels afin qu’elle ne puisse réaliser ce pour quoi elle est née.

Du jour au lendemain, la famille Heap découvre qui était ce bébé abandonné dans la neige et quelle était sa mission de vie. Qui est réellement Jenna et de quelle famille descend-t-elle ? Et surtout qui veut tuer une enfant de 10 ans et pourquoi ? Silas s’interroge et se demande si finalement Jenna avait été abandonné ou cachée afin de sauver sa vie !



𝓜𝓸𝓷 𝓪𝓿𝓲𝓼

Une lecture agréable, une ambiance sombre à souhait pour casser le côté un peu jeunesse et une histoire qui pour le coup sort de l’ordinaire dans ce thème la. Maintenant st-ce que je vais lire la suite ? L’avenir nous le dira 😁

De nouveaux ennuis attendent Jenna et la famille Heap dans ce troisième tome de Magyk. Silas a accidentellement réveillé le fantôme d’une ancienne reine, bien décidée à reprendre son trône et à imposer son impitoyable volonté au royaume.



Je crois que je vais synthétiser mes deux premières chroniques, on ira plus vite. C’est mauvais. Vraiment mauvais. On a une reine tyrannique prête à tuer ses propres gosses pour s’assurer de conserver le pouvoir, et vous savez quoi ? Eh bien, elle m’est infiniment plus sympathique que Silas Heap.



Non parce qu’il n’a jamais QUE provoqué le retour d’une meurtrière en série, une épidémie qui a sans doute causé des dizaines, voire des centaines de morts, la disparition de l’un de ses fils, puis celle d’un second parti en quête du premier… Et comment il réagit au milieu de tout ça, cet abruti ? En continuant de jouer à la Pagaille Poursuite !



Et PERSONNE ne lui en veut ! Non, c’pas grave. Ils ont tous crevé ou se sont volatilisés, mais c’pas grave. Il est JUSTE inconséquent, c’pas comme si c’était un vil dictateur sanglant comme la reine maudite (qu’il a JUSTE libérée). Y a bien Marcia qui crie un peu, trois quatre lignes, mais comme Marcia crie tout le temps…



Encore qu’on ne la voit pas beaucoup, dans ce tome. Pas plus que Zelda. M’enfin, c’est logique, Septimus s’est évanoui dans le passé, POURQUOI on battrait le rappel des troupes et qu’on essayerait d’œuvrer de concert pour lui mettre la main dessus, hein ? Brassons tous de l’air chacun dans notre coin, et avec un peu de chance, il finira par émerger d’un tas de crottin !



Ah oui, parce qu’il y a ça, aussi. L’humour. Je ne l’ai jamais aimé, mais là, avec les excréments et les flatulences du dragon, on s’enfonce (littéralement) dans la scatologie. Et puisque je parle du dragon… Non, en fait, vaut mieux pas. Je préfèrerais l’oublier. Ce dragon, c’est comme Silas. J’ai passé le livre à rêver de lui tirer une balle dans la tête. Je n’en pouvais plus ! Il sert à que dalle, et on y passe des plombes !



Et Snorri… Snorri n’est pas désagréable, mais elle non plus, elle ne sert à rien. À part au « Ta gueule, c’est magique » du rebondissement final. D’ailleurs, c’est bien la seule chose de magique là-dedans. J’ai l’impression que plus on avance, plus les personnages oublient qu’ils sont MAGICIENS. (Oups, c’est vrai, pardon, moi aussi, j’oublie, ils sont surtout cons AVANT d’être magiciens.)



Je pourrais continuer à cracher sur ce roman, et plus globalement sur cette saga, pendant des lignes et des lignes, mais j’ai déjà assez perdu de temps comme ça, et il me reste encore deux tomes dans ma PAL. J’ose croire que vous avez là un aperçu plus que suffisant des sentiments que cette œuvre m’inspire…
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Dès les premières pages ,le style d'Angie Sage vous donne

envie de poursuivre.



Je me suis attachée à cette famille de magiciens ordinaires où d'un côté la supposée mort tragique de leur 7 ème fils a la naissance et l'arrivée le même jour de la petite Jenna au sein de leur foyer, amène différentes émotions.



Qui est véritablement cette petite fille?



Pourquoi a-t-elle était confié à cette famille?



L'envie de découvrir son histoire m'a fait poursuivre ma

lecture,page après page.



Je me suis autant attachée à elle ,qu'à son frère Niko,à 412

dont on découvrira la véritable identité à la fin..



J'ai détesté Marcia, la magicienne extraordinaire dépeint ici à la mode " le diable s'habille en Prada ", adoré zelda, la tante qui cache un secret dans son armoire à potions (qui me fait penser un peu à la mère de Ron dans Harry Potter)...



Intrigues,magie, aventure....

Font de ce premier tome, une lecture fluide et prenante ....

Pour ado et pour adultes....



Très belle découverte pour ma part qui me donne envie de

lire le second tome déjà actuellement dans ma PAL.