J’attendais beaucoup de ce roman, surtout avec l’introduction de Lucia Guerrero, une nouvelle héroïne que j’imaginais aussi charismatique que Martin Servaz (oui, je suis Servaz Addict !).
L’histoire commence à l’université de Salamanque, où des étudiants en criminologie suspectent l’existence d’un tueur en série inspiré par les tableaux de la Renaissance, qui sévit depuis des décennies en passant sous les radars. À Madrid, Lucia Guerrero est confrontée à l’horreur lorsque son équipier est retrouvé crucifié, la poussant à se lancer dans une traque acharnée.
Malgré ce contexte prometteur, le scénario m’a semblé confus et ne m’a pas convaincue. Les nombreux personnages, souvent mal définis et parfois superflus, m’ont désorientée à plusieurs reprises, compliquant le suivi de l’intrigue. Les digressions fréquentes, comme les extraits de lois, alourdissent le récit sans réellement l’enrichir. Les histoires secondaires, bien que potentiellement intéressantes, manquent de profondeur et de développement, laissant un sentiment d’inachevé. Quant à Lucia, je l’ai trouvée fadasse (et pas badasse).
Au final, je n’ai accroché à rien. Long, mou, fade, brouillon, ce roman n’a malheureusement pas réussi à me captiver comme je l’aurais souhaité.
J’espère sincèrement que les prochaines aventures de Lucia Guerrero sauront retrouver le charme et l’impact des précédents ouvrages de l’auteur, car oui, je lirai la suite !
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