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Le Quartet des Smythe-Smith, tome 4 : Les s..

Dernier tome des aventures du Quartet des Smythe-Smith et c’est avec un petit pincement au cœur que je quitte cette famille tout aussi touchante que les Bridgerton. Un tome qui sort quelque peu de l’ordinaire, surtout après les trois autres aventures, dont je ne saurais classer le trope mais qui a été tout aussi charmant, bien qu’avec plus de tensions.



Iris est la cousine qui était peut-être la plus effacée dans la famille. Il faut dire qu’avec une sœur comme Capucine qui est une plaie, soyons franc, on se focalise tout de suite beaucoup plus sur la cadette qui donne des envies de meurtres à beaucoup de ses proches. J’avais un peu peur d’ailleurs qu’elle soit trop présente et qu’elle gâche un peu l’histoire de son aînée. Mais Julia Quinn avait de tout autres plans pour Iris.



Je ne vais pas le cacher… Bien que Richard soit sympathique et qu’il n’est pas difficile de comprendre le pourquoi de ses actions, le début de ce tome du Quartet des Smythe-Smith ne commence pas sous les meilleurs hospices. Iris fait pourtant preuve de courage et de dignité et fait face à ce mariage qui est loin d’être celui dont elle avait rêvé. Elle va pourtant tout faire pour que cela fonctionne et rien que pour cela, on ne pouvait que l’applaudir.



Une jeune femme intelligente, observatrice que sa naïveté, liée à sa condition, n’arrête pas. On la voit naviguer dans un domaine où elle doit faire sa place et faire aussi face aux non-dits de son époux. La tension est palpable tout comme la détresse de notre héroïne. Et quand les sentiments s’en mêlent… les choses deviennent encore plus compliquées.



Avec une intrigue de la sorte, le point de vue alterné était un excellent choix. Bien que j’aie eu envie de donner quelques gifles à Richard, on arrive aussi aisément à le comprendre, surtout vu l’époque à laquelle se déroule l’histoire. Mais il n’empêche que… malgré ses bonnes intentions, c’est Iris qui devra en payer les pots casser. C’est assez douloureux à lire car on voit qu’ils s’aiment mais que ce secret va tout remettre en perspective et risque de faire imploser toute une famille qui a pourtant déjà bien souffert. Moins joyeux que les précédents tomes, je l’ai pourtant énormément apprécié et cela grâce à Iris. On la voit grandir, prendre de l’assurance, faire face, pour enfin prendre les choses en main de façon assez « drastique » si je puis dire. Et franchement, c’était un moment des plus jouissif surtout après tout ce qu’elle avait enduré.



La condition de la femme est encore une fois mise en avant dans ce dernier tome. Les convenances, le pouvoir des hommes sur les femmes, le poids du regard des autres et du « déshonneur »… Bien que le récit soit une romance, pas légère bien entendu mais loin d’être dramatique, Julia Quinn nous fait prendre conscience de tout ce qu’impliquait cette époque. La famille est toujours au centre du récit, et là encore, elle est sublimée bien qu’un peu malmenée.



Un dernier tome tout aussi réussi que les précédents avec un schéma plus original, et ce ne fut pas pour me déplaire. Malgré mes appréhensions, j’ai vraiment bien fait de me lancer dans la lecture du Quartet des Smythe-Smith, et je vais probablement continuer rapidement à lire les autres romans de l’auteure.

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Le quartet des Smythe-Smith, tome 3 : Pluie..

Comment résister à un enemies to lovers ? Moi personnellement, j’ai beaucoup de mal… Et autant vous dire qu’en lisant le résumé de ce troisième tome du Quartet des Smythe-Smith, j’avais encore plus envie de me lancer dans ma lecture.



Si Hugh m’avait intrigué lors des précédents tomes, Sarah ne m’avait pas autant marqué. Il faut dire qu’elle a un peu un rôle d’empêcheur de tourner en rond entre Daniel et Anne (même si c’est tout à son honneur). Et puis au début de ce tome, elle n’est pas forcément décrite sous les meilleurs hospices… J’avais donc un petit peu peur mais il n’est pas rare dans un enemies to lovers que les défauts des héros soient bien mis en avant pour ajouter cette tension frôlant la haine ! Donc, je ne me suis pas arrêtée à cela.



Et j’ai eu raison, car comme sa cousine avant elle, Sarah cache une personnalité, certes un peu théâtrale, mais aussi passionnée, observatrice, intelligente, et avec un humour plutôt mordant. Le genre d’héroïne que j’aime beaucoup. Et on la voit d’ailleurs évoluer tout au long du roman, se rendant peu à peu compte de choses et d’autres. Et puis, il y a Hugh en face. Taciturne au possible. Après un Marcus adorable, et un Daniel bout en train, nous voilà face à un homme meurtri, malheureux qui se voit obligé d’assister non pas à un mais deux mariages d’affilé. Et on lui met sa « pire ennemie » dans les pattes qui plus est. Je jubilais, bien entendu. Alors oui, on se doute de ce qu’il va se passer, qu’ils vont apprendre à se connaître et à s’apprécier, mais c’est tout le processus qui est parfait. Des joutes verbales d’abord piquantes, qui deviennent peu à peu un jeu de séduction.



Si Sarah évolue en tant que personne, c’est une héroïne qui ne porte pas un message en soi. Jeune femme heureuse et privilégiée, elle n’en reste pas moins quelqu’un de fort et d’attachant. Mais contrairement à Honoria et Anne, elle n’est pas un portevoix si je puis dire. Hugh par contre nous montre un aspect de la société qui implique que les hommes aussi ne sont pas libres de leur existence et des apparences. Difficile de faire la comparaison avec les femmes, mais c’est aussi quelque chose qu’il est important de montrer. Avec sa blessure et le fait d’être le fils cadet, on découvre un homme qui a un peu perdu le goût à la vie. Qui s’en veut énormément et qui n’arrive pas à se pardonner… de l’incident avec Daniel, mais aussi de son enfance face à un père violent. C’est poignant, sans trop en faire, encore une fois. Pudique je dirais même. Et mon cœur de guimauve ne peut résister au fait que ce soit l’amour mais aussi cette famille incroyable des Smythe-Smith qui pourra potentiellement l’aider à guérir.



Un amour inconditionnel qui est encore plus fort ici que dans les précédents tomes du Quartet des Smythe-Smith. Le handicap de Hugh fait qu’il se sent indigne et Sarah devra tout faire pour lui prouver du contraire et lui faire comprendre que cela n’a aucune importance. Une romance qui reste d’ailleurs très contemporaine par bien des égards. Et voir un héros avec un handicap et qu’il soit traité avec justesse, et un énorme plus.



Un petit mot sur Frances pour finir. Oh cette amour de petite fille ! J’aurais rêvé qu’elle ait aussi son tome à elle, mais elle brille tellement dans cette troisième histoire que c’est déjà une joyeuse compensation. Sa relation avec Hugh est improbable et attendrissante à souhait. C’est deux là se sont trouvés et à n’en pas douter son beau-frère aura une place particulière dans sa vie. Du moins, j’aime à l’espérer.



Un tome trois charmant, surtout avec mon trope préféré. Je ne me lasse vraiment pas, et je pense sincèrement que je vais écumer tous les romans de Julia Quinn. Elle a le don pour créer des histoires qui mettent du soleil dans nos vies et on n’en à tous besoin (au sens propre comme au figuré… XD).

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Le quartet des Smythe-Smith, tome 2 : Sorti..

Difficile de résister à l'envie de poursuivre les aventures du Quartet des Smythe-Smith... J'ai donc enchaîné avec le second tome de la quadrilogie que j'ai dévoré aussi rapidement que le premier. J'étais pourtant un petit peu inquiète de voir Daniel, le frère de Honoria, prendre les rênes surtout avec son passif. Moi qui espérais que la légèreté perdurerait entre les déboires du jeune Comte et ceux de sa promise... je me voyais déjà basculer dans le roman policier. Mais fort heureusement, cela n'a pas été le cas et même si certains événements sont plus "tendus", l'ensemble de la romance est tout aussi pétillante.



Après le friends to lovers, c'est au tour du coup de foudre. Je suis moins fan, et je pense que j'ai déjà discuté de cela dans une chronique des Bridgerton d'ailleurs, mais pour moi, le coup de foudre est souvent lié au désir et pas forcément à de l'amour. Avec en plus un personnage masculin comme Daniel... plutôt charmeur et beau parleur, je n'ai pas tout de suite été charmée. On voit pourtant rapidement qu'il y a plus, c'est certain, mais il y avait aussi cette impression de "je vais la conquérir coûte que coûte pour l'ajouter à mon tableau de chasse" et au diable les convenances. En apprenant à connaître notre héros, c'est une impression qui disparait, mais pour une mise en bouche et avec Anne qui est très réceptive, le schéma me semblait moins attrayant.



Et puis, à un moment donné, il y a ce petit quelque chose qui fait toute la différence. Leurs joutes verbales, le caractère tempétueux de cette romance, le fort sentiment d'appartenance des Smythe-Smith pour qui la famille est sacrée, le fait qu'on apprenne à connaître vraiment Daniel et Anne... tout ceci fait que l'on passe de ce désir incontrôlable à une passion réelle et un amour ardent. Nos deux héros ont aussi vécu des drames qui les ont marqués à vie, les ont changés également, et on voit qu'ils ont appris de "leurs erreurs", même si dans les deux cas, ils n'étaient au final que des victimes. Cette résilience et cette envie de faire mieux, de se donner une seconde chance était d'ailleurs intéressant. J'aime aussi, bien évidemment, le fait que les femmes ne soient pas considérées comme des objets par les hommes de la famille, et les conjoints "pièce-rapportée". Le respect qui s'en dégage fait un bien fou. Cela donne parfois, peut-être, des allures de princesses en détresse, mais l'on voit aussi combien nos héroïnes sont des femmes fortes.



Bien que j’aie adoré Daniel, surtout pour son côté espiègle, c'est Anne qui ressort le plus pour moi dans ce deuxième tome du Quartet des Smythe-Smith. De par sa condition, il y a un parallèle entre les différentes classes de la société qui était bon à rappeler. Une réalité qui donne un côté moins conte de fées à cette romance, mais qui est tout aussi intéressante. Le passé de notre héroïne est aussi révoltant par biens des aspects. Un sujet qui est malheureusement encore d'actualité... Julia Quinn le traite cependant sans entrer dans le pathos, et je l'en remercie. Elle nous donne des faits, nous explique le ressenti d'Anne, les conséquences, tout en pointant du doigt l'aberration des règles de l'époque. Bien entendu, comme dans toutes les romances de l'auteure liées à l'univers, on se doute que les choses vont bien se terminer, mais il y a un cheminement, des épreuves à traverser qui ne rendent pas le tout trop idyllique.



La dernière partie, malgré son côté assez anxiogène, met aussi en avant l'amitié qui lie trois des héros de la saga. Marcus, Daniel et Hugh. Je ne vais choquer personne, surtout si vous me lisez régulièrement, en disant que mettre aussi en avant une amitié forte et sincère était indéniablement un atout supplémentaire. J'aime que l'on sorte un petit peu du contexte familial, même si je l'adore, et qu'en même temps, les hommes soient mis à l'honneur. Surtout que ces quelques passages m'auront vraiment donné envie de mieux connaître Hugh alors qu'il n'apparait pas beaucoup. Une façon des plus efficace de l'introduire.



Et sans surprise, j'ai hâte de lire le tome trois qui va assouvir ma curiosité le concernant. Je me plais décidément beaucoup avec les cousins Smythe-Smith, c'est indéniable.

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Le quartet des Smythe-Smith, tome 1 : Un go..

Après avoir vu la saison trois de Bridgerton, j'avais envie de me replonger dans l'univers. L'occasion parfaite d'enfin sortir de ma pile à lire Le quartet des Smythe-Smith. Une légère appréhension cependant, car la réputation des cousines dans La chronique des Bridgerton est disons... plutôt comique. Leur talent de musiciennes étant connu de tous, et pas dans le bon sens du terme. J'avais donc un peu peur d'avoir des héros dont on se moque... Pas trop ma tasse de thé, et pas le style de Julia Quinn non plus. L'auteure aime ses personnages et sait très bien tirer le meilleur parti d'eux.



Un goût de paradis est mignon. Je n'arrive pas à lui donner un autre qualificatif. Et attention, c'est un compliment, j'entends bien. C'est frais, un brin naïf, tendre, drôle... J'ai eu envie de serrer les deux héros dans mes bras un bon paquet de fois. Et qu'est-ce que cela fait du bien. Un vrai plaisir à lire avec les mêmes codes que pour les Bridgerton mais sans doute avec plus de légèreté. Et j'ai adoré. Lu en une journée, j'ai hâte d'ailleurs de poursuivre l'aventure.



Avec un friends to lovers un peu particulier, la romance a ce petit quelque chose de cosy. J'entends par là que les deux héros se connaissant depuis l'enfance, il y a cette familiarité entre eux qui leur permet d'être eux-mêmes sans devoir se cacher derrière les règles de bienséance. Pas de rond de jambe, pas de faux-semblants. De nombreuses scènes sont donc assez drôles, surtout pour l'époque, et on ne peut que s'attendrir en les voyant peu à peu prendre conscience de leurs sentiments. Cela saute aux yeux de tout le monde, bien évidemment, sauf pour les intéressés. Cela ajoute à l'ambiance bienveillante et mignonne, même si certains moments du roman peuvent être un petit peu anxiogène. Mais même cette partie est très bien gérée, car elle met d'autant plus en avant le fait que les femmes sont tout à fait capables, et que quand la situation l'exige, une lady peut accomplir des prouesses.



La bienveillance vient aussi avec la famille Smythe-Smith. Ici, ce sont des cousins et cousines, mais on retrouve une camaraderie digne des grandes fratries. Ils sont piquants, amusants, tendres... Là encore, cela fait du bien de se retrouver dans un tel environnement. J'aime aussi beaucoup la dynamique de la famille. Ils sont très soudés et cela même aux vues de leur grand nombre. Et puis, il y a bien entendu Le quartet des Smythe-Smith. Une légende, surtout si vous avez déjà lu les Bridgerton. Et avec les yeux d'Honoria, on perçoit ce massacre musical (appelons un chat, un chat) d'un tout autre oeil. La famille avant tout. Un joli message qui ajoute de la douceur à l'histoire.



On retrouve aussi certains personnages emblématiques, des clins d'oeil qui font toujours plaisir, surtout quand on repère aussi des moments particuliers qui ont toute leur importance dans la saga d'origine. De quoi régaler les fans.



Honoria et Marcus sont un duo des plus charmants et attendrissants au possible. Leur petite aventure a su me séduire sans aucun mal. Le côté plus léger était également une bonne chose, parfaite pour cette famille assez originale. J'espère que la suite sera dans la même veine.

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Le quartet des Smythe-Smith, tome 1 : Un go..

J'avoue, je ne me souvenais pas des personnages des Bridgertone, bien que j'ai lu les chroniques il y a à peine quelques mois (je lis beaucoup trop) honte à moi. C'était donc presque une nouvelle lecture, et j'en suis ravie. J'ai certes reconnu ce ton si empreint d'ironie, cet humour so British que j'affectionne tant, mais impossible de me souvenir si j'avais déjà rencontré ces personnages au détour des chroniques tant connues. Prévisible comme sa version "cousine", mais cela n'empêche en rien de savourer ces moments si particuliers.
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Le quartet des Smythe-Smith, tome 3 : Pluie..

Dans ce troisième tome du quartet des Smythe-Smith, on retrouve Sarah, la cousine d’Honoria dont on entend parler depuis le début de la série. Elle se retrouve obligée à tenir compagnie à Hugh Prentice au mariage de sa cousine, l’homme qui a entrainé la fuite de son cousin et qu’elle n’a rencontrée qu’une fois mais qu’elle à détester. Petit à petit, elle apprend a le connaître, surtout grâce à sa famille qui veut apparemment qu’elle se marie avec lui à tout pris puisque qu’ils les forcent à rester ensemble à plusieurs reprises. Pour la suite, c’est fidèle aux autres Julia Quinn, ils s’entendent de mieux en mieux et évidemment tombent amoureux. Le père d’Hugh vient compliquer la situation mais finalement tout s’arrange et ils se marient.



Je suis assez partagée.

D’habitude j’adore les Julia Quinn mais là j’ai trouvé le livre très long et j’ai du me forcer à le finir ce qui est assez mauvais signe.

L’histoire est prévisible, deux personnes qui se détestent mais qui vont finir par se marier mais on s’y attendait vu les tomes précédents.

Je pense que cette fois-ci je me suis moins attachée aux personnages et que l’histoire avait moins de rebondissements (c’est vrai qu’il n’y en a pas eu beaucoup à part à la fin).

Je lirai quand même le tome 4.
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Le quartet des Smythe-Smith, tome 1 : Un go..

Premier tome d’une série parallèle aux Chroniques des Bridgerton : le quartet des Smythe-Smith.



Ce livre est très bien écrit, dans le même style que les Bridgertone évidemment. J’ai beaucoup aimé les personnages principaux.



Il y a des passages assez drôles, qui font sourire car l’histoire est très prévisible : on devine dès les premières pages que, comme dans tous les romans de Julia Quinn, les deux personnages principaux qui n’ont pas l moindre intention de se marier vont finir ensemble. On retrouve aussi le fameux quatuor des Smythe-Smith et enfin, nous savons que les jeunes filles savent qu’elles jouent une affreuse cacophonie.



Plutôt bon livre, très agréable à lire.
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