Le roman tourne autour du personnage de Dina. Dina est un prénom biblique ce qui permet de saisir que l’héroïne du roman revête un aspect mythique : instinctive, animale, rude, sans nuance, hors du commun, ne correspondant à aucune norme, ne se pliant à aucun code social, pourtant, en de furtives circonstances, capable d’humanité. Dina conduit à la mort violente ceux qui l’aiment, ceux qu’elle aime parce qu’ils ne correspondent pas vraiment à son exigence d’absolu.
L’histoire s’apparente à une épopée : paysages grandioses et fantastiques, situations hors du commun, personnages taillés dans le roc. Les rebondissements abondent.
Des passages bibliques introduisent les chapitres, donnant au roman une tonalité quasi sacrée.
J’ai porté un regard analytique sur ce roman, mais jamais ne me suis sentie embarquée avec les personnages, je suis restée observatrice.
Ce roman est le premier d’une trilogie. Je ne lirai pas le deuxième qui est centré autour du fils de Dina, Benjamin.
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