Je m'étais arrêtée au tome 5, il faudra que je relise l'intégralité de la série, qui m'avait beaucoup plu.



C'est à la fois un polar et un roman social, sur le Barcelone pas du tout touristique, mais plutôt celui des quartiers chauds.



Les couleurs sont toujours sombres, plutôt dans les tons brun / ocre à Barcelone, et dans des teintes vertes qui évoquent le froid en Islande.



Le dessin est anguleux, et illustre bien la violence, la mafia, la corruption, la pédophilie, le racisme, les meurtres et les politiques véreux, c'est une série très noire.



En Islande, on est confronté à un parti fasciste et raciste, qui proclame la supériorité des Vikings blonds aux yeux bleus et n'hésite pas à jeter d'un avion des personnes "de couleur".

Alors que sa vie trépidante de gangster se calme un peu, Jazz qui souhaite faire carrière dans la musique, est rattrapé par un code d honneur et l assassinat de l oncle Raimundo. Judas le pousse à se venger et il s engagé avec Teo à une chasse à l homme.

Ce tome m a semblé très léger et au final peu de choses en découlent. La violence est toujours présente mais un peu moindre sur ce tome, les prochains risquent d'être bien différents.

Avec ce 6ème tome nous sommes toujours à la quête de l œil doré, Teo avait été enlevé et à son habitude, celui qui dicte cette violence veut balancer les étrangers de son hélicoptère. Jazz est lui très inquiet pour son ami car il n arrive pas à avoir une piste sérieuse à suivre.

Cette série est extrêmement dynamique et violente et comme pour la première trilogie, les choses s éclaircissant doucement. On peut cependant mettre en avant l étude graphique en fin de tome qui est très réussie et de qualité.

Deuxième tome après la première trilogie , toujours aussi violent dans un nouveau cadre. Teo et Jazz Maynard sont partis en Islande pour retrouver l œil doré, mais la quête de cet artefact est assez longue et on avance très peu dans le déroulement de l histoire.

Ce deuxième repart pour moi sur les mêmes travers que la première trilogie. Assez décevant au final.

Dans ce nouveau tome de Jazz Maynard on reprend avec les mêmes protagonistes, Judas toujours en prison, Jazz qui tente de se mettre au vert. Il décide de dire non à des contrats qui paraissent pourtant juteux et forcément malhonnête. Ce justicier a besoin de calme et de se retrouver en famille, mais quand un nouveau chef de file essaie de prendre le pouvoir dans son quartier et s en prend au bar où Jazz fait de la musique, ce dernier voit rouge.

Ce tome est beaucoup plus lent car c est la mise en place de la nouvelle histoire, mais on est beaucoup moins perdu que pour les tomes précédents.

Fin de cette première trilogie avec une violence omniprésente et c'est même un feu d artifice tellement la sanquette est présente. Les éléments un peu flou des tomes précédents s éclaircissant mais le sentiment qu il y a trop d éléments dans ce scénario me reste quand même présent à la fin de ce tome.

En tous cas le personnage de Jazz Maynard est haut en couleur et correspond bien à l image du justicier.

Avec ce deuxième tome on retrouve les mêmes ingrédients que le premier tome, la violence et les combats. Jazz Maynard s est engagé auprès de Judas (un ancien de sa bande) à accomplir un vol apparemment particulièrement compliqué et tout ça pour sauver sa petite sœur.

Le scénario est toujours aussi touffu et nous perd dans l histoire ou les histoires. Graphiquement cela reste assez intéressant avec une très bonne dynamique qui est pour le plus de cette série.

Jazz Meynart est une série bd assez surprenante. Je ne savais pas trop à quoi m attendre et en voyant la couverture je m attendais à une série sur le jazz et la musique, quelle surprise ! L action est omniprésente et assez vite on comprend que Jazz essaie de fuir certaines personnes.

Le bémol pour moi est la mise en place de l histoire qui part un peu dans tous les sens, à voir si la suite ne nous réserve pas de belles surprises.