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Inspecteur Rebus

Série de 24 livres (En cours). Écrite par Ian Rankin (24),
L'inspecteur Rebus est un détective écossais, dur et quelque peu cynique. Il vieillit au même rythme que la publication des romans. Divorcé et amateur de whisky, Rebus travaille dans le centre mal famé d'Édimbourg. Il entre souvent en conflit avec sa hiérarchie, alors qu'il partage une certaine empathie avec les criminels qu'il côtoie. Il n'aime pas l'autorité, ni faire partie d'une équipe

Le Fond de l'enfer par Rankin
tome : 2
Piège pour un élu par Rankin
tome : 4
Le Carnet noir par Rankin
tome : 5
Causes mortelles par Rankin
tome : 6
Ainsi saigne-t-il par Rankin
tome : 7
L'Ombre du tueur par Rankin
tome : 8
Le jardin des pendus par Rankin
tome : 9
La Mort dans l'âme par Rankin
tome : 10
Du fond des ténèbres par Rankin
tome : 11
La Colline des chagrins par Rankin
tome : 12
Cicatrices par Rankin
Ian Rankin
3.74★ (314)
tome : 14
Fleshmarket close  par Rankin
tome : 15
L'appel des morts par Rankin
tome : 16
Exit Music  par Rankin
Ian Rankin
3.73★ (249)
tome : 17
Tels des loups affamés par Rankin
tome : 20
Le diable rebat les cartes par Rankin
tome : 21
La maison des mensonges par Rankin
tome : 22
Le Chant des ténèbres par Rankin
tome : 23

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Dernières critiques
Cicatrices

J’ai lu ce roman policier il y a quelques semaines déjà (voire plusieurs mois) et par manque de temps, je ne peux écrire mon ressenti sur cette lecture que maintenant. Malheureusement pour moi, j’ai quasiment oublié l’intégralité de cette histoire…



Cicatrices fait partie d’une saga policière dont les tomes peuvent être lus indépendamment. Néanmoins, comme toutes bonnes sagas qui se respectent, le lecture aura beaucoup moins de précisions sur les personnages, qui évoluent depuis plusieurs tomes déjà et passera totalement à côté de certaines anecdotes. Ce qui fût le cas ici.



Je ne connaissais pas cet auteur, mais je ne pense pas retenter ma chance avec lui. J’ai pourtant lu les presque 600 pages de ce livre, mais aucun souvenir ne m’en reste. Je ne peux donc pas vous en parler. A vous de vous en faire votre propre avis… ou pas… Ce que j’en retiens néanmoins : un rythme plutôt saccadé, des chapitres qui s’étirent en longueurs et me paraissent par moments interminables.



Un polar qui s'inscrit dans une saga policière, mais qui peut être lu indépendamment des autres. Un récit qui ne m'a laissé aucun souvenir.
Lien : https://analire.wordpress.co..
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Rebus et le Loup-Garou de Londres

Une cuvée moyenne de la série John Rebus (c’est le troisième épisode des aventures de l’inspecteur), qui remonte quand même à plus de trente ans, et qui n’est pas humainement aussi dense que les plus récents, ce qui n’empêche pas de passer un bon moment.

Rebus est dépêché à Londres où sévit un tueur en série qui laisse la trace de ses dentitions sur des victimes. C’est le syndrome du flic qui vient d’un pays de ploucs, selon ses collègues londoniens, pour qui l’Ecosse est une lointaine contrée. Les bobbies sont aussi vexés de recevoir un tel renfort. Et fâchés aussi, car Rebus se comporte comme un chien dans un jeu de quilles et ne respecte pas les règles tacites de la grande ville, tout en savourant de petites vengeances lorsqu’il subit quelques mesquineries.

Ian Rankin nous balade en fait de suspect en suspect. L’assassin est-il un homme, une femme, un flic ? Il y a le choix parmi 10 millions de Londoniens, et Rebus va jusqu’à soupçonner sa petite amie du moment, tout en restant assez nul côté relationnel en allant saluer son ex-femme et sa fille, exilées dans la capitale. Les fausses pistes sont parfois un peu lassantes, et le Rebus de l’époque manque encore d’un peu de mordant.



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Debout dans la tombe d'un autre

Me voila à nouveau avec un Rébus : j'en ai lu plusieurs, jamais dans l'ordre avec beaucoup de plaisir.

Là, Rébus est pratiquement à la retraite : il n'est plus policier mais travaille sur de vieilles enquêtes non résolues. On le retrouve avec ses pauses-clops, ses pauses-pub, ses bières...Un flic d'un autre age, donc. En tous cas c'est ce que pense un certain Fox, des Plaintes, qui prétend avoir des étagères pleines de dossiers le mettant en cause.

Une coïncidence va lui permettre de se remettre à enquêter vraiment.

Une mère vient essayer de secouer le service : sa fille a disparu il y a plus de dix ans près de l'A9. On ne l'a jamais retrouvée et sa mère est persuadée que d'autres disparitions ont eu lieu le long de cette autoroute qui remonte vers le nord de l'Ecosse. Y aurait il un tueur en série ? Mais cette dame a déjà fatigué tout le service.

Et voila qu'une jeune fille disparait, après s'être arrêtée dans une station service le long de cette même autoroute.

L'occasion est trop bonne pour Rébus de se glisser dans une "vraie" enquête : le voila dans sa vieille Saab, arpentant la route du sud au nord, reliant les endroits où ont peut être eu lieu des disparitions et cherchant l'endroit où une photo mystérieuse a été prise...

Rébus pourra-t-il terminer l'enquête avant que Fox ne l'arrête ? Trouvera-t-il le (les) coupable (s) ? Qui est vraiment mort et qui est toujours vivant ?

Comme toujours le superbe personnage de Rebus et, loin d'Edimbourg cette fois, les superbes paysages écossais...
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La maison des mensonges

1. Il ne faut pas avoir peur des nombreux personnages. Au début, j’avoue avoir un peu galéré mais l’intrigue bien cousue empêche l’endormissement.

2. Il faut aimer subir la pression de la police des polices, car parfois (tout le temps ?), la police ment. Mais l’Anticorruption montre-t-elle, elle-même, patte blanche ?

3. Il faut comprendre que les personnes disparues, douze ans auparavant, peuvent réapparaître. Certes, sous la forme de squelette, mais ont encore bien des choses à dire.

4. Il faut se mettre dans la tête de Rebus (j’aime bien son nom !), flic à la retraite et vieux renard têtu qui n’aime pas rester à se tourner les pouces.

5. Il faut reconnaître à Siobhan Clarke, policière à Edimbourg, un certain talent pour reprendre l’enquête du détective disparu en 2005 et s’apercevoir d’un nombre conséquent d’erreurs commises par ses prédécesseurs.

6. Il ne faut pas oublier que Siobhan subit, en même temps, les menaces d’une famille dont elle a envoyé auparavant le fils en prison pour le meurtre de sa petite amie. Erreur ?

7. Mensonges ici. Mensonges là. Pour qui ? Pourquoi ? Forcément, on finit par se demander alors à qui appartient la maison des mensonges ?



Pour moi, je fus une première immersion dans la maison Rankin et la découverte de son personnage récurrent, Rebus. Bon, je l’ai croisé là, en plein décalage avec les nouvelles technologies et à la retraite, malade de surcroît, mais encore capable de bons coups de pied bien placés, et de bons coups de main bienvenus. Le personnage est sympathique et l’image du vieux renard rusé lui sied à merveille.

Le polar permet également d’aborder les thèmes de compromission, de drogue et d’homophobie. Mais tout cela reste plutôt suggéré et n’empiète pas trop sur le déroulement de l’intrigue. L’intrigue, elle, par contre est très (trop ?) complexe et reprend, je pense puisque je n’ai pas lu les tomes précédents, des éléments qui parfois m’ont perdue. Mais dans l’ensemble ce polar a bien fait le job et l’intérêt est venu également de la connaissance des rouages de la police écossaise.

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Un cimetière dans le cœur

24ème roman avec comme personnage John Rebus et mon premier Ian Rankin. Le titre est assez explicite , ça sent le sapin pour Rebus , à la retraite avec une santé chancelante , Cafferty son meilleur ennemi est en fauteuil roulant et Edimbourg se remet à peine du Covid. Un affaire de violences conjugales (c’est un sujet actuel) impliquant un policier débouche sur un complexe imbroglio : bande de policiers ripoux , lutte pour le contrôle du marché de la drogue , rivalités et ambitions dans la police …. Et Rébus se trouve directement impliqué quand les squelettes sortent des placards et que les vieux dossiers révèlent d’anciennes compromissions. Je ne suis pas totalement séduit par ma première lecture de Rankin : rythme lent ( les enquêtes sont détaillées dans leur moindre détail ) , action minimale , peu de suspense et la résolution m’a laissé sur ma faim . Cependant le personnage est attachant , les dialogues brillants et la peinture sociale acérée.
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Exit Music

A une semaine de son départ en retraite, l'inspecteur REBUS enquête avec sa collègue CLARKE sur le meurtre d'un poète russe dissident. Il met au jour les liens qui unissent CAFFERTY, l'intouchable caïd d'Edimbourg, des oligarques moscovites, des députés et des banquiers.

Finalement, beaucoup de complications pour une affaire qui s'avèrera finalement assez simple.

Un polar assez moyen, finalement, avec beaucoup trop de dialogues inutiles et une intrigue plutôt tirée par les cheveux.
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Le Chant des ténèbres

Fan inconditionnel de Ian RANKIN et de son personnage fétiche John REBUS, j'aborde chaque épisode avec beaucoup d'attente et je ne suis jamais déçu !

Les deux enquêtes de ce "Chant des ténèbres" sont très intéressantes et assez complexes, mettant en scène de nombreux personnages ténébreux qui évoluent d'un côté autour de REBUS, et de l'autre autour de Siobbhan CLARKE épaulée par Malcolm FOX.

Il ne me reste plus qu'à lire le 24ème tome et à terminer le pavé de nouvelles autour de John REBUS écrites par l'auteur tout au long de ces années, " The Beat Goes On " qui complète agréablement la série. J'espère seulement que Ian RANKIN poursuivra son oeuvre ... pourvu que la santé de REBUS le permette !
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Tels des loups affamés

Premier livre que je lis de cet auteur, pris au hasard, et bien évidemment c'est le "dernier" de Rébus, vu qu'il est à la retraite.

Mais loin d'être sur la touche, il est sur le devant de la scène, en grande partie.

Nous avons droit, alors, à plusieurs enquêtes en parallèle, des personnages gardant jalousement, leurs prérogatives.

Et, au lieu de se nommer Rébus, l'enquêteur pourrait s'appeler labyrinthe, car les fils de l'histoire sont nombreux, et peu à peu, se met en place, bout à bout, un véritable patchwork qui donne un très bon résultat à ce roman que j'ai lu avec grand plaisir, et qui sucite l'intérêt du lecteur pour les autres ouvrages de cet auteur.... 😊👍
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