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Critique de squalette
Un roman sur la grossophobie, sur l'acceptation de soi, sur le regard de l'autre.
Jemima vit en Angleterre, dans une famille monoparentale, sa mère a abandonné le navire, va avoir 13 ans est super intelligente et est grosse. Voilà pour le contexte !
Elle se fait harceler et ne parvient pas à dire à son père toute sa souffrance. Au collège, vient un cours particulier où tous les élèves sont pesés (quelle pratique horrible !) et là voilà obligée de suivre le cours de santé et nutrition, dans ce que les élèves appellerons le club des gros. Son corps où plutôt l'image que lui renvoi les gens l'empêche de vivre pleinement sa vie, pourtant son intelligence remarquée vont lui permette de participer à un jeu télévisé. Mais elle n'a pas confiance en son image et cela la déstabilise.
Un roman à faire lire, pour comprendre ou faire prendre conscience du regard des autres, de la méchanceté quelque fois gratuite et parfois fois idiote, sur des paroles et de regards déplacés qui apportent souffrance et déstabilisation.
Jemima vit en Angleterre, dans une famille monoparentale, sa mère a abandonné le navire, va avoir 13 ans est super intelligente et est grosse. Voilà pour le contexte !
Elle se fait harceler et ne parvient pas à dire à son père toute sa souffrance. Au collège, vient un cours particulier où tous les élèves sont pesés (quelle pratique horrible !) et là voilà obligée de suivre le cours de santé et nutrition, dans ce que les élèves appellerons le club des gros. Son corps où plutôt l'image que lui renvoi les gens l'empêche de vivre pleinement sa vie, pourtant son intelligence remarquée vont lui permette de participer à un jeu télévisé. Mais elle n'a pas confiance en son image et cela la déstabilise.
Un roman à faire lire, pour comprendre ou faire prendre conscience du regard des autres, de la méchanceté quelque fois gratuite et parfois fois idiote, sur des paroles et de regards déplacés qui apportent souffrance et déstabilisation.
