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Critique de Henri-l-oiseleur
On trouvera ici un Voltaire tout autre que le combattant des "grandes causes", à quoi l'école contemporaine a tendance à le réduire, oubliant tout le reste. On rencontrera "le roi-Voltaire", qui traite d'égal à compagnon avec Frédéric II, qui se scandalise des mauvais traitements qu'il lui fait subir, et qui soigne son image de grand maître à penser européen dans un style sec, inimitable, dépourvu de sentimentalité, du moins la plupart du temps. Un de ses écrits sur les trois est à la troisième personne, comme les Commentaires de César. A découvrir.
