Cet album m'a fait penser à une chanson de Maxime le Forestier que je n'ai jamais vraiment comprise mais que j'aime beaucoup, "Bille de verre", et qui commence, si ma mémoire est bonne, par " Un bateau de bois emporte Papa jusqu'au bout de la terre"
Ici, c'est un Maharadja qui emporte le petit bouddha du titre loin de la cabane en bambou de son sculpteur, le jeune Saadi. Cette statue va rendre le sourire à son fils, emmuré dans le chagrin depuis que sa maman est morte. A quoi est dû ce changement subit? On l'ignorera jusqu'à la fin, mais en chemin, on suivra la vie du petit bouddha dans toutes les maisonnées où il répandra le bonheur.
L'album offre une leçon de vie mais même avant d'y parvenir, vous verrez, vous aussi le petit bouddha vous fera du bien et vous laissera avec un étrange sentiment de satisfaction.
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