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Critique de jurigal98
Même si je connaissais l'histoire dans les grandes lignes, je n'avais encore jamais lu ce livre, ni aucun autre de Jules Verne. J'étais donc curieuse.
Je dois avouer avoir eu beaucoup de mal à rentrer dans l'histoire. J'ai trouvé la première moitié environ terriblement longue mais je me suis accrochée et c'est enfin devenu intéressant.
Jules Verne avait une imagination débordante et, il semblerait, une soif de connaissance scientifique qui rendent le récit réaliste, d'une certaine façon, et plutôt immersif.
le problème, ce sont les digressions incessantes, qui nuisent au rythme de l'histoire. L'accumulation fréquente de termes techniques pousse plutôt à la somnolence qu'à l'imagination. Et les pensées fatalistes d'Axel, le narrateur, occupent probablement plus de la moitié du roman. Ce n'est pas son oncle mais bien le lecteur qu'il décourage.
En parlant des personnages, aucun d'eux n'est attachant. Axel ne fait que se plaindre, son oncle n'écoute que ce qui va dans le sens de ses désirs, et Hans ne parle pas. C'est vraiment une bataille entre le pessimisme et l'optimisme, les deux allant au-delà de la raison. Axel s'imagine en train de mourir dans presque tous les chapitres, c'est probablement ce qui m'a le plus lassé dans ce récit.
Au final, j'ai bien aimé ce récit imaginaire mais la lenteur de l'histoire et ses personnages antipathiques ont rendu cette lecture difficile.
Je dois avouer avoir eu beaucoup de mal à rentrer dans l'histoire. J'ai trouvé la première moitié environ terriblement longue mais je me suis accrochée et c'est enfin devenu intéressant.
Jules Verne avait une imagination débordante et, il semblerait, une soif de connaissance scientifique qui rendent le récit réaliste, d'une certaine façon, et plutôt immersif.
le problème, ce sont les digressions incessantes, qui nuisent au rythme de l'histoire. L'accumulation fréquente de termes techniques pousse plutôt à la somnolence qu'à l'imagination. Et les pensées fatalistes d'Axel, le narrateur, occupent probablement plus de la moitié du roman. Ce n'est pas son oncle mais bien le lecteur qu'il décourage.
En parlant des personnages, aucun d'eux n'est attachant. Axel ne fait que se plaindre, son oncle n'écoute que ce qui va dans le sens de ses désirs, et Hans ne parle pas. C'est vraiment une bataille entre le pessimisme et l'optimisme, les deux allant au-delà de la raison. Axel s'imagine en train de mourir dans presque tous les chapitres, c'est probablement ce qui m'a le plus lassé dans ce récit.
Au final, j'ai bien aimé ce récit imaginaire mais la lenteur de l'histoire et ses personnages antipathiques ont rendu cette lecture difficile.
