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Critique de Cricri08
Un policier pas comme les autres!
Oui certes il y a une enquête : deux gros bras que rien ne relie au milieu du banditisme ont été tués. Mais il y a aussi un fantôme dans la nouvelle maison d'Adamsberg, des profanations de tombe ... sans rien voler, et des cerfs éventrés en Normandie!
Mais il y a surtout des personnages hors du commun : Adamsberg tout d'abord, un commissaire à la tête d'une brigade de 27 personnes (28 avec Boule le chat) , qui a clairement un problème de management de son équipe. Il manque de capacité de persuasion, d'esprit de cohésion et de pédagogie ... ou plutôt il ne veut pas s'en donner la peine. Qui m'aime me suive et advienne que pourra!
N'oublions pas le nouveau, le lieutenant Veyrenc s'exprimant en alexandrins (et ses étranges mèches de cheveux) ou Violette Rétancourt au gabarit impressionnant.
Et puis il y a la langue utilisée, mêlant langage courant et sophistication littéraire, les inventions verbales, et les comparaisons incongrues.
Bref, je suis fan!
Oui certes il y a une enquête : deux gros bras que rien ne relie au milieu du banditisme ont été tués. Mais il y a aussi un fantôme dans la nouvelle maison d'Adamsberg, des profanations de tombe ... sans rien voler, et des cerfs éventrés en Normandie!
Mais il y a surtout des personnages hors du commun : Adamsberg tout d'abord, un commissaire à la tête d'une brigade de 27 personnes (28 avec Boule le chat) , qui a clairement un problème de management de son équipe. Il manque de capacité de persuasion, d'esprit de cohésion et de pédagogie ... ou plutôt il ne veut pas s'en donner la peine. Qui m'aime me suive et advienne que pourra!
N'oublions pas le nouveau, le lieutenant Veyrenc s'exprimant en alexandrins (et ses étranges mèches de cheveux) ou Violette Rétancourt au gabarit impressionnant.
Et puis il y a la langue utilisée, mêlant langage courant et sophistication littéraire, les inventions verbales, et les comparaisons incongrues.
Bref, je suis fan!
