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Critique de Elusor
Le choix de ce roman est 100% Covid, dans mon village, le prêt entre bibliothèques fut interrompu. Or C'EST ma principale source de lectures !!! Je me trouvai donc confinée aux rayons de ma petite bibliothèque locale, le choix est trèèèès limité. Faisant la recherche des titres de Mark Twain disponibles, il y en avait un seul : le roman de Jeanne d'Arc.
Qu'en dire ? Mark Twain était fasciné par Jeanne d'Arc et il en dresse un portrait romanesque extrêmement bien documenté. Il a dit de ce livre qu'il était l'oeuvre de sa vie.
J'ai appris une grande quantité de faits historiques dans ce bouquin et je salue le travail de l'auteur qui a su décrire et rendre digeste et même fort intéressant au commun des mortels la grande épopée de Jeanne d'Arc, cette pucelle illettrée qui renversa le cours de l'Histoire et dont les victoires mirent fin à la Guerre de cent ans.
Néanmoins je suis obligée de critiquer sa foi en son sujet ; Mark Twain décrit Jeanne d'Arc non seulement en une icône, un porte-étendard, galvanisant les troupes françaises tant de son courage inouï que de l'aura divin qui l'accompagnait (tout cela étant exact), mais il la décrit également en une redoutable chef de guerre et diplomate, elle une paysanne illettrée, soulignant d'ailleurs l'impossibilité de la chose !
La fin de cette histoire est insupportablement triste et injuste, comme de raison, une jeune héroïne trahie et brûlée vive, quoi imaginer de pire.
Qu'en dire ? Mark Twain était fasciné par Jeanne d'Arc et il en dresse un portrait romanesque extrêmement bien documenté. Il a dit de ce livre qu'il était l'oeuvre de sa vie.
J'ai appris une grande quantité de faits historiques dans ce bouquin et je salue le travail de l'auteur qui a su décrire et rendre digeste et même fort intéressant au commun des mortels la grande épopée de Jeanne d'Arc, cette pucelle illettrée qui renversa le cours de l'Histoire et dont les victoires mirent fin à la Guerre de cent ans.
Néanmoins je suis obligée de critiquer sa foi en son sujet ; Mark Twain décrit Jeanne d'Arc non seulement en une icône, un porte-étendard, galvanisant les troupes françaises tant de son courage inouï que de l'aura divin qui l'accompagnait (tout cela étant exact), mais il la décrit également en une redoutable chef de guerre et diplomate, elle une paysanne illettrée, soulignant d'ailleurs l'impossibilité de la chose !
La fin de cette histoire est insupportablement triste et injuste, comme de raison, une jeune héroïne trahie et brûlée vive, quoi imaginer de pire.
