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3,69

sur 265 notes
Première enquête de Fidelma, une jeune Religieuse et avocate Irlandaise au tempérament bien trempé.

J'ai aimé ce personnage dynamique, courageux, qui loin de son Irlande natale sait s'imposer dans un royaume Saxon où les femmes sont si peu considérées.
Au début du récit, le nombre de personnages, leurs origines, fonctions, religions diverses m'a pas mal embrouillé l'esprit et ennuyé. Mais une fois les personnages, le décor planté et le premier meurtre commis l'histoire est plus fluide et intéressante.

Fidelma mène une enquête « policière » à la Agatha Christie avec une enquête et un dénouement final similaire : interrogations successives des différents suspects puis scène final où les principaux suspects sont tous regroupés, le coupable et le mobile du crime dévoilé.

Pour moi, La seule originalité et le seul intérêt de cette enquête policière réside dans l'époque à laquelle se situe ce roman. En effet on connaît très peu le 7éme siècle, les us et coutumes de cette époque, notamment celle des irlandais et des saxes.

Les seules raisons pour lesquelles je lirais les autres livres de Peter Tremayne, est que j'aimerai en savoir plus sur ce personnage atypique de soeur Fidelma et sur la vie au 7éme siècle. Sinon pour moi c'est vraiment des enquêtes trop prévisibles et du « déjà vu » (prononcé à l'américaine ;-) )

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Premier roman de Peter Tremayne et première rencontre avec ses personnages soeur Fidelma et frère Eadulf.
J'ai bien aimé cette ambiance d'Angleterre du haut Moyen Age avec ses querelles religieuses et son découpage compliqué en territoires divers avec leurs querelles d'héritage.
L'enquête autour du meurtre d'une abesse est bien menée, les personnages intéressants.
Nul doute que je tenterai une autre enquête en leur compagnie.
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Je ne suis pas trop du genre policier mais ce livre s'est retrouvé dans ma PAL, il y a fort longtemps. Sans doute le côté historique qui m'avait attiré à l'époque.
En 664, un grand synode se prépare pour déterminer quelles pratiques chrétiennes appliquer, celles de l'Eglise de Rome ou celle d'Iona ? Mais alors que le synode démarre, l'abbesse Etain est assassinée. Fidelma est désignée avec frère Eadulf pour enquêter sur ce meurtre.
Ce livre est le premier tome des enquêtes de Soeur Fildema, une femme pleine de caractère. Première fois que je lisais cet auteur et c'est assez prenant ! J'ai été un peu déroutée au début par les noms assez particuliers de certains personnages ou des lieux mais finalement, je suis arrivée à situer tout le monde. L'enquête est menée de façon assez linéaire, certains choses se laissent deviner mais j'ai apprécié ce duo d'enquêteurs religieux.
Fidelma de Kildare n'est pas ordinaire : elle n'a pas sa langue dans sa poche et sa formation de juriste l'aident à analyser les différentes situations. J'ai appris beaucoup de choses sur cette époque et sur les dissensions de la religion chrétienne et ça m'a rendu curieuse de certains aspects de la religion chrétienne. A poursuivre avec ses prochaines enquêtes…
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Le point fort du roman est pour moi incontestablement son côté roman historique. Je connaissais très mal (voir pas du tout) ce côté de l'histoire (la mise en place et l'uniformisation de la chrietienté, la vie religieuse et (un peu) la fédodalité au royaume uni dans le bas Moyen-Âge) et j'étais très heureuse d'en découvrir les spécificité. Les débats sur les détails techniques de tels ou tels aspects du culte dans une ambiance virant par moment à la foire sont clairement le point fort du roman, même s'ils restent en arrière plan et heureusement : c'est rigolo mais pas de quoi un faire tout un roman sur ce ton. (Mais sur d'autres je pense qu'il y a de quoi faire !). de même les querelles politique interviennent sans que ce soit au coeur du roman, le tout reste assez léger.

Je l'ai lu en anglais et certains termes ou expression légèrement suranées donne le ton de manière très agréable. C'est globalement plutôt simple à lire et le style, s'il est adapté, n'est pas très remarquable à part donc pour quelques termes en quelques occasions.

Les personages sont stérotypés et peu profonds mais ça n'en fait (pour le moment) pas des tonnes dessus donc ça passe bien. L'histoire policière marche bien même si les ficelles sont assez grosses (je soupçonnais le bon coupable). On assiste principalement à une suite d'intérrogatoire et de quelques descriptions (un peu sommaires) de scènes de crime. Une once de suspense mais pas beaucoup plus.

En bref, ce n'est peut-être pas un chef d'oeuvre du policier mais un roman historique léger et plaisant sur un aspect du Moyen-Âge probablement mal connue. Ca me donne envie de lire les autres de la série, mais pas de les dévorer d'un seul coups.
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Ce fut difficile de débuter la lecture de ce premier opus de la longue série des aventures de soeur Fidelma. Les 60, 80 premières pages sont utiles pour présenter les personnages les lieux mais j'ai eu beaucoup de mal à m'y retrouver avec tous les prénoms très compliqué à retenir.
Une fois le meurtre arrivé tout s'enchaine, les pages défilent les unes après les autres. L'enquête est tordue a souhait en plus des crimes des complots viennent s'entremêlaient ne félicitant l'enquête de soeur Fidelma et de son aide.
Lecture très détaillé, une belle découverte que je vais continuer avec la lecture du tome 2 ..
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Voici un livre que j'avais depuis un moment dans ma PAL, peut-être depuis ma lecture de la série « Frère Cadfael » dans la même collection Grands Détectives, série que j'ai lue (en entier !) il y a… hum, plus de 25 ans ! Je pense que c'est cette série-là qui m'avait encouragée à découvrir d'autres détectives plus ou moins historiques, dont j'ai lu un certain nombre de livres : je peux citer Nicolas le Floch (série arrêtée après quelques tomes cependant, car le royalisme excessif du personnage m'avait agacée) ou l'inénarrable Mma Ramotswe (dont je garde un excellent souvenir, même si une relecture plus récente de l'un ou l'autre tome lui ont donné un goût désuet que je n'avais pas perçu lors de ma première lecture).
Tout cela pour dire : notre Soeur Fidelma s'inscrit clairement dans cette lignée de héros « policiers malgré eux » à qui on s'attache très vite et sans condition, quel que soit le contexte où ils/elles évoluent – et ici, clairement, l'histoire de l'émergence de la Grande-Bretagne au VIIe siècle, pour moi c'était le grand inconnu !

Cela étant dit, ce livre aurait pu rester encore longtemps dans ma PAL démesurée, si le défi du mois dans le challenge Mauvais genres ne l'avait pas fait ressortir… mais que dis-je ? En fait, non…
Ma PAL est non seulement débordante, mais en plus elle a réellement une forme de (nombreuses) piles disséminées dans l'appartement, en attendant de pouvoir être casées dans une maison où nous finirons peut-être nos vieux jours entourés de livres. Mais en attendant, ma recherche de ce livre s'est apparentée à une séance de fouille archéologique, soldée par… un échec ! J'avais acheté d'occasion (à l'époque à bon prix, désormais on ne la trouve plus qu'à prix d'or) l'édition originale de 2004 avec sa couverture bien colorée, mais ne l'ai plus retrouvée ! Dépitée, je me suis tournée vers l'ebook, bah oui, car tout à coup j'étais bien décidée à le lire quand même, ce livre !

Et donc, après toutes ces circonvolutions, entrons (enfin !) dans le vif du sujet : qu'ai-je donc pensé de ce livre ? D'abord, j'ai apprécié d'apprendre pas mal de choses, dans le contexte très bien rendu du « concile de Whitby » (voir notamment Wiki, qui n'est sans doute pas la source la plus complète, mais ça donne une idée en quelques mots : https://fr.wikipedia.org/wiki/Concile_de_Whitby ) - petite ville appelée Witebia dans le livre, une « note historique » en informe d'emblée le lecteur, mais il est difficile de savoir si c'est son nom irlandais, ancien ou juste un choix plus ou moins hasardeux de traduction. Et donc, j'ai beau avoir eu une éducation en partie religieuse (catholique) assez étendue, je n'avais jamais entendu parler de différences de forme dans le culte de l'autre côté de la Manche, entre une tradition irlandaise héritée d'une évangélisation précoce (ah Saint Patrick!) et fortement teintée de culture celtique, et une tradition alors encore romaine venue plus tardivement chez les Saxons. Je ne savais pas non plus que ces différences avaient fait l'objet de débats plutôt houleux – et c'est cela-même qui est si bien décrit, Peter Tremayne ne laisse aucune illusion sur « l'esprit chrétien » de ces prélats et autres religieux tellement divisés, parfois violemment, autour de quelques détails pratiques (célibat ou non, ou la date à laquelle fêter Pâques), alors qu'ils sont censés être animés par la même foi : c'est aussi hallucinant que criant de réalisme, et n'est pas sans rappeler d'autres épisodes beaucoup plus récents, de divisions virulentes entre chrétiens (pour des raisons politiques, aussi, on le sait) de ce même côté-là de la Manche, hélas !

Plus discutable, mais tout aussi prenante, est la nette différence que l'auteur marque entre les Irlandais, selon lui plutôt policés, héritiers d'une tradition ancienne les ayant menés à une culture avancée avec un système politique stable et bien organisé, et les Saxons, conquérants pleins de fougue et de hargne, sans cesse en guerre ou en complot les uns contre les autres malgré un roi qui semble peu à peu s'imposer en suzerain pour tous, violents et aux méthodes (punitives notamment) excessivement barbares. Cette distinction est tellement poussée que je me suis demandé si l'auteur n'était pas lui-même irlandais… mais non, il est bien anglais, et serait « juste » spécialiste en études celtiques. Au point de faire des Irlandais du VIIe siècle un peuple fabuleux, face aux barbares saxons ? J'avoue que je ne sais trop qu'en penser, si ce n'est que ça rend soeur Fidelma éminemment sympathique mais un brin artificielle parfois : elle est « trop » dans tout ce qu'elle fait, pense, ou dit. Certes, on l'accepte car ça fait partie de son charme et ça sert l'histoire ; reste à voir si cet aspect se confirme ou s'allège dans les tomes suivants – mais ça, c'est une autre histoire !

Quant à l'intrigue, elle est assez convenue. On a un meurtre incompréhensible mais qui peut être expliqué de plusieurs façons dans le contexte évoqué ci-dessus, véritable poudrière politique. On mande alors Fidelma, en sa qualité reconnue de spécialiste en droit irlandais, pour résoudre l'affaire, et pour faire bonne mesure, on lui adjoint le jeune religieux saxon Eadulf. Il est à noter que ce dernier est lui aussi bien sympathique : même si ça ne se dit pas tout à fait clairement dans ce tome, mais ça se laisse entendre (et plus encore dans le cliffhanger final qui annonce le tome 2), on l'imagine bien comme un possible prétendant de la jeune femme, dans cette tradition chrétienne celtique où les communautés mixtes existent ; il restera cependant toujours plus ou moins dans l'ombre de la jeune femme, l'auteur ayant résolument opté pour une perspective du point de vue de Fidelma.

Ainsi, tandis que le roi gronde (gentiment), que ses opposants s'énervent au rythme de l'avancée du Concile, Fidelma suit tranquillement sa route à la recherche de la vérité, rassemblant des indices qui la mèneront à la résolution de l'enquête lors d'un déballage final – un grand classique dans les policiers « traditionnels » ! C'est une technique de polar que, d'habitude, m'irrite beaucoup : ces auteurs qui s'amusent à masquer une vérité dont les clés utiles (parfois des pans entiers!) ne sont données que tout à la fin, pour moi c'est du mauvais ouvrage, où l'auteur veut montrer une certaine suprématie qui gâche le plaisir du lecteur (je trouve).
Ouf, ce n'est pas le cas ici ! Certes, il y a quelques éléments qui sortiront du chapeau de l'auteur à la dernière minute pour confirmer le tout . Néanmoins, la plupart des indices qui mèneront à la résolution, sont semés intelligemment tout au long du livre, et un lecteur avisé peut assez vite avoir une idée de qui est le meurtrier. Par ailleurs, l'auteur joue également avec quelques fausses pistes, mais apparemment sans trop y croire lui-même : elles sont tellement « grosses » qu'on se doute qu'il ne faut pas trop les suivre, tandis que la piste principale est très largement ouverte malgré les quelques inconnues qui subsisteront jusqu'au bout. Je me demande si cette technique d'écriture d'un polar, assez convenue comme je disais plus haut, est liée à l'époque où ce livre a été rédigé (1994 quand même pour la vo, même s'il n'a été traduit que 10 ans plus tard), et jusqu'à quel point l'auteur se sera mis « au goût du temps » dans les opus plus récents – il me reste juste 31 tomes à lire pour le vérifier ! Avec tout ça, même si la confirmation de la résolution vient un peu abruptement, l'histoire se tient de bout en bout et laisse le lecteur satisfait, avec un petit goût de cliffhanger en compagnie de Fidelma, qui semble bien poursuivre ses aventures avec Eadulf…

En résumé, je peux donc dire que j'ai apprécié ce livre pour ses aspects historiques bien rendus et très réalistes, qui ne sont pas sans faire écho à certaines situations bien plus récentes de divisions au sein d'une même religion, tandis que l'intrigue policière se construit de manière assez convenue, entre fausses pistes improbables et indices semés intelligemment, amenant le lecteur même à la résolution de l'enquête, malgré quelques éléments qui ne seront révélés qu'à la fin.
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J'avais beaucoup aimé la série télévisée Frère Cadfael , et à l'occasion du challenge mauvais genre j'ai découvert cette série de romans ayant pour héroïne une religieuse .
La période historique du roman est antérieure au Moyen Age ( VII ième siècle ) , la chrétienté s'est répandue mais n'a pas encore pris le pas sur les anciennes croyances et soeur Fidelma bien que chrétienne est de culture irlandaise .Elle a étudié le droit et exerce la fonction de juge . C'est une femme indépendante étonnement moderne .
L'église romaine tente de faire accepter sa vision des choses et c'est le cadre de la première enquête de soeur Fidelma .
Lecture très agréable , le seul reproche que je ferai c'est la difficulté de retenir les noms des personnages !

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Au risque de me faire "critiquer" par les fans de Soeur Fidelma, personnellement j'ai été un peu déçue par ce premier tome.
J'en avais beaucoup entendu parler et j'avais, peut être, trop d'attentes.

Et donc, c'était une première pour moi. La série traîne depuis perpet dans ma liseuse et... confinement oblige :-)

J'ai été déçue parce que j'ai trouvé que le rythme est sans surprise : une alternance d'infos sur le mode de vie de l'église catholique au Moyen Age, avec la mise en avant du synode de Whitby et de ses enjeux pour la partie historique du roman, et une enquête sur plusieurs meurtres au sein du monastère.
Fidelma est donc chargée de résoudre, très vite, cette enquête. Elle y arrive sans trop de peine avec l'aide d'un moine, Eadulf.

Ce livre, pas vraiment dingue au niveau suspens, se lit, néanmoins, avec plaisir.
Je réserve mon pronostic sur la série pour le moment où j'aurai lu plusieurs tomes.
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J'ai tout simplement adoré cette première enquête de Soeur Fidelma.

Il y a un bon moment que je voulais commencer le cycle des enquêtes de cette célèbre religieuse, mais il compte quand même 24 tomes déjà parus si je ne me trompe pas. Et visiblement, un 25ème en cours de publication.
Les éditions 10/18 ont eu l'excellente idée de regrouper les deux premiers opus dans une intégrale, et j'espère qu'ils continueront à publier ces enquêtes deux par deux. Ce format est vraiment pratique, car il permet soit de lire les deux tomes d'affilé, soit au contraire, de faire une pause tout en sachant que le tome suivant est déjà dans notre PAL. Personnellement je n'ai lu que le premier, et bien qu'étant curieuse de connaître la suite de la vie de Soeur Fidelma, je me réserve ce second tome pour plus tard.

Je ne vous cache pas que le début était un peu laborieux, je me demandais dans quoi je m'étais lancée. L'auteur ne tarit pas de détails sur le contexte politico-religieux de l'époque, et je ne suis pas très familiarisée avec les dogmes religieux. En fait, l'évènement déclencheur de l'histoire est un grand débat qui doit se tenir à l'abbaye de Streoneshalh (Nord de l'Angleterre) pour déterminer si la région doit suivre l'Église d'Irlande ou celle de Rome. Certains passages me paraissaient juste incompréhensibles, nombreuses occurrences sur les Saints, les textes fondateurs, et j'ai lu ces quelques passages en diagonale. J'étais également perdue avec tous ces anciens noms de lieux qui ont changé depuis bien longtemps. J'ai regretté de ne pas les avoir notés afin d'effectuer des recherches pour mieux me situer dans cet espace relativement flou.
Passé ces descriptions assez denses et lourdes, l'intrigue est très fluide, très prenante à lire. Finalement, l'intrigue policière repose entièrement sur ce débat, et malgré un parti pris évident de l'auteur pour l'Irlande,(il décrit les Saxons comme un peuple barbare, dont certains individus sont encore païens et polythéistes), il est passionnant de voir les arguments développés et les positions défendues.

J'ai vraiment adoré le duo que forme Soeur Fidelma et son homologue Saxon, et bien qu'une possible idylle entre eux est très prévisible, j'ai suivi avec curiosité leur complicité naissante. L'humour est rare, subtil, mais malgré tout présent entre les lignes. Les portraits dressés ici sont peut-être un peu caricaturaux, mais collent bien au caractère de chaque personnage. de l'héritier sanguinaire au roi compréhensif, en passant par des religieux(ses) à la morale restrictive jusqu'au moine fou, on a tous les cas de figure possible. Chacun est susceptible d'être le coupable et même si la clé du mystère était sous nos yeux depuis le début, il est jubilatoire de vois nos deux héros menés en bateau par certains personnages à première vue irréprochables. Contrairement aux enquêtes classiques où le détective ne connaît pas forcément la victime, ici, Fidelma est directement concernée par le meurtre, puisqu'il s'agissait d'une de ses amies. du coup, Peter Tremayne nous propose de découvrir une héroïne vulnérable mais plus déterminée que jamais et nous la rend sympathique presque aussitôt. de même pour Eadulf, qui a beau être du côté des Saxons (ici présentés comme un peuple assez cruel), il fait preuve d'une grande sensibilité et humilité, c'est un personnage masculin agréable.

Je ne lui accorde pas les cinq étoiles maximales de la note simplement parce que certains passages sur la religion m'ont un peu ennuyée mais l'intrigue était vraiment bien ficelée. le contexte est tellement bien retranscrit que l'on s'y croirait presque. Une impression plus que positive donc, pour ce premier tome, et je me suis d'ores et déjà attachée à Fidelma et Eadulf.


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Une découverte pour moi avec cette première aventure de soeur Fidelma de Kildare. Un livre que j'ai trouvé totalement par hasard, mais poussée par la curiosité de ces histoires irlandaises et celtiques je me suis lancée.
J'ai beaucoup apprécié le rôle donné par l'auteur à son héroïne, avocate, qui arrivée d'Irlande se retrouve dans un pays saxons où les femmes ne sont guères considérées, tout comme dans cette période dans plusieurs pays !
Elle va mener son enquête aidée du moine Eadulf, de main de maître, au milieu d'un débat du haut clergé.
Dans ce tome, les nombreux personnages, les noms, les débats politiques et religieux peuvent facilement nous perdrent, mais en s'accrochant l'histoire sans être très palpitante est bien sympathique, et nous donne envie de lire la suite des aventure.
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