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Critique de Moomin60
Maître et serviteur : une nouvelle à l'ambiance très Dickensienne. J'avoue avoir eu du mal à ne pas bondir face à la misogynie de certains passages, mais le contexte historique étant différent de notre époque je me suis forcée à passer outre, et j'ai bien fait.
Les deux vieillards : ce texte ferait une excellente parabole à intégrer dans la bible.
Le moujik Pakhom : l'avidité paysanne punie par le Cornu lui-même. Court mais un vrai régal.
Ce qui fait vivre les hommes : une nouvelle traitant encore de religion, très touchante (pour une fois que ça ne finit pas mal).
Polikouchka : quelle triste histoire. Une fois encore On trouve une connotation religieuse dans l'idée que l'argent pervertit.
La mort d'Ivan Ilitch : difficile d'avoir de l'empathie pour le personnage principal, d'autant plus qu'il semble évident que certains traits de caractère appartiennent à l'auteur lui-même.
La sonate à Kreutzer : abandon dès le premier chapitre. le combo misogynie et antisémitisme, non merci.
Les cosaques : c'est sans déplaisir ni passion que j'ai lu cette histoire qui m'a beaucoup fait penser à La terre, d'Emile Zola, en beaucoup moins bien quand même.
Les récits de Sébastopol : c'est dans la douleur que je suis arrivée à la fin de cette histoire tant elle m'a ennuyée.
Ressenti final : ouf, enfin terminé ! C'était clairement celui qui de toute la collection me faisait le plus peur, mais avec un seul abandon je trouve que je ne m'en tire pas trop mal. Par contre ce n'est pas sûr que je me laisse tenter par Anna Karenine. Pas sûr du tout, même.
Les deux vieillards : ce texte ferait une excellente parabole à intégrer dans la bible.
Le moujik Pakhom : l'avidité paysanne punie par le Cornu lui-même. Court mais un vrai régal.
Ce qui fait vivre les hommes : une nouvelle traitant encore de religion, très touchante (pour une fois que ça ne finit pas mal).
Polikouchka : quelle triste histoire. Une fois encore On trouve une connotation religieuse dans l'idée que l'argent pervertit.
La mort d'Ivan Ilitch : difficile d'avoir de l'empathie pour le personnage principal, d'autant plus qu'il semble évident que certains traits de caractère appartiennent à l'auteur lui-même.
La sonate à Kreutzer : abandon dès le premier chapitre. le combo misogynie et antisémitisme, non merci.
Les cosaques : c'est sans déplaisir ni passion que j'ai lu cette histoire qui m'a beaucoup fait penser à La terre, d'Emile Zola, en beaucoup moins bien quand même.
Les récits de Sébastopol : c'est dans la douleur que je suis arrivée à la fin de cette histoire tant elle m'a ennuyée.
Ressenti final : ouf, enfin terminé ! C'était clairement celui qui de toute la collection me faisait le plus peur, mais avec un seul abandon je trouve que je ne m'en tire pas trop mal. Par contre ce n'est pas sûr que je me laisse tenter par Anna Karenine. Pas sûr du tout, même.
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