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Critique de LoupAlunettes
Une bonne proposition Comics ado.
" Sabrina, apprentie sorcière" fait parti désormais du patrimoine du Comics américain.
La demi-sorcière, demi-mortelle, est revenue sur le devant de la scène télévisuelle grâce à une nouvelle adaptation tv qui a su conquérir tous les publics raffolant de magie et d'intrigues démoniaques bien ficelées.
Les aventures s'articulent autour du quotidien lycéen de la jeune Sabrina Spellman qui jongle entre sa petite vie d'ado ordinaire et celle plus dangereuse d'apprentie sorcière.
Sabrina, fille d'un grand sorcier trépassé, est recueillie et élevée par ses tantes, sorcières totales, Hilda et Zelda, qui feront en sorte qu'elle n'oublie pas son héritage.
Le Comics date des années 60 et donc profitait d'un visuel sixties très esthétique repris par la nouvelle série TV. Il en sera de même pour les nouvelles séries tv " Riverdale" et " Katy Keene" avec lesquels Sabrina partage le même univers.
Il ne serait pas incongru de croiser donc l'univers ado-policier d'Archie Andrews à celui Fantastique de Sabrina par des crossover si les auteurs le décidaient sur le Comics ou les séries. Une manoeuvre économique très fun et très habile qui permet de profiter de la popularité des uns et des autres.
L'aventure de Sabrina va monter en puissance car le Diable en personne( si l'on peut dire) va réclamer la jeune demoiselle qui se partage aussi avec les bonnes valeurs lumineuses de la vie humaine.
Un cellule de sorciers, " l'Église de la Nuit", tentera de lui mettre la main dessus à plusieurs reprises car Sabrina semble promise à un grand destin pour qui saura l'utiliser à bon escient.
Le monde de Sabrina, malgré la noirceur ambiante, est fun et excitant pour le lectorat ado, faisant intervenir dans la série des camarades humains courageux et parfois tout aussi spéciaux que les sorciers ( ce monde est bien plus divers que ne peut supposer le joli charme de la bourgade de Greendale).
Elle pourra compter sur son petit-ami Harvey, son cousin Ambrose, ses copines, Rosalind et Susie, qui ne seront pas épargnés par les manigances de l'Église de la Nuit et du Diable.
Malgré sa petite coupe de cheveux carrée, maintenue d'un serre-terre et sa petite mini-jupe d'époque, Sabrina s'annoncera comme une demoiselle moderne, son style la rendra populaire, comme adoptant un genre rétro sexy et assumé.
L'adaptation tv n'hésitera pas non plus à moderniser le propos en incluant des thèmes ados, la puberté, le sexe, la romance, la quête d'identité et les affaires familiales.
Quid du Comics de 2019 proposé par Jelly Thomson et illustré par Veronica et Andy Fish?
Le scénario, les tantes et Harvey mis à part, déploiera une toute nouvelle distribution de jeunes personnages ados.
Cette version BD offrira sa propre version du personnage, une Sabrina moins sûre d'elle et prête à quelques charmes pour se faire accepter pour sa nouvelle rentrée à Greendale
Sabrina arrivera fraichement dans ce lieu rempli de "mortels" (comme elle les appelle) et ne sera pas encore très entourée.
L'inverse de la série tv, où notre Sabrina y sera bien établie depuis l'enfance, pétillante, populaire, enjouée et malicieuse.
Celle de la BD ne devra jamais utiliser la magie alors que celle de la série tv sera contrainte de s'en servir pour tenir son rang.
Sabrina, pourtant, s'accordera quelques entorses entre les pages pour améliorer l'efficacité du corps enseignant et ses cours, pour défendre aussi les élèves dans le besoin.
Un sujet à la mode et récurrent concernant les récits ados : le harcèlement.
Elle agira avec méfiance, réserve et distance- sa part plus familière étant celle magique tandis que dans la série, elle se présentera comme plus à l'aise dans le monde des humains et ses joies d'ados-.
Dès les premiers jours de sa rentrée, la magie la forcera à agir et les jeunes lecteurs pourront constater que les élèves de Greendale sont bourrés de secrets frayant avec la magie noire, que notre Sabrina est peut-être bien à sa place finalement.
Si la série TV se montrera plus jouissive pour un plus grand public, de grands spectateurs (grands ados, adultes), cette BD plus naïve, permettra aux jeunes pré-ados de se faire plaisir avec un Comics frissonnant de sorcières au look moderne.
Nous conserverons le très apprécié triangle amoureux autour de Sabrina avec cette fois Harvey (qui ne sait pas que la nouvelle élève est une sorcière/ Sabrina (qui ne sait pas choisir)/ Ren (moitié Wendigo mais qui l'ignore) -celui de la série étant : Harvey (humain)/Sabrina (demi humaine, demi sorcière) /Nicolas Scratch (sorcier) - .
Le problème de la responsabilité ne concernera pas que les affaires de mauvais sorts donc mais aussi les affaires de coeur.
La BD ne manquera pas de fraicheur et d'humour avec cette héroïne inexpérimentée et intrépide qui provoquera parfois des catastrophes magiques en souhaitant bien faire.
Cela peut offrir une bonne amorce pour découvrir le personnage dont on parle beaucoup sur différents médias.
" Sabrina, apprentie sorcière" fait parti désormais du patrimoine du Comics américain.
La demi-sorcière, demi-mortelle, est revenue sur le devant de la scène télévisuelle grâce à une nouvelle adaptation tv qui a su conquérir tous les publics raffolant de magie et d'intrigues démoniaques bien ficelées.
Les aventures s'articulent autour du quotidien lycéen de la jeune Sabrina Spellman qui jongle entre sa petite vie d'ado ordinaire et celle plus dangereuse d'apprentie sorcière.
Sabrina, fille d'un grand sorcier trépassé, est recueillie et élevée par ses tantes, sorcières totales, Hilda et Zelda, qui feront en sorte qu'elle n'oublie pas son héritage.
Le Comics date des années 60 et donc profitait d'un visuel sixties très esthétique repris par la nouvelle série TV. Il en sera de même pour les nouvelles séries tv " Riverdale" et " Katy Keene" avec lesquels Sabrina partage le même univers.
Il ne serait pas incongru de croiser donc l'univers ado-policier d'Archie Andrews à celui Fantastique de Sabrina par des crossover si les auteurs le décidaient sur le Comics ou les séries. Une manoeuvre économique très fun et très habile qui permet de profiter de la popularité des uns et des autres.
L'aventure de Sabrina va monter en puissance car le Diable en personne( si l'on peut dire) va réclamer la jeune demoiselle qui se partage aussi avec les bonnes valeurs lumineuses de la vie humaine.
Un cellule de sorciers, " l'Église de la Nuit", tentera de lui mettre la main dessus à plusieurs reprises car Sabrina semble promise à un grand destin pour qui saura l'utiliser à bon escient.
Le monde de Sabrina, malgré la noirceur ambiante, est fun et excitant pour le lectorat ado, faisant intervenir dans la série des camarades humains courageux et parfois tout aussi spéciaux que les sorciers ( ce monde est bien plus divers que ne peut supposer le joli charme de la bourgade de Greendale).
Elle pourra compter sur son petit-ami Harvey, son cousin Ambrose, ses copines, Rosalind et Susie, qui ne seront pas épargnés par les manigances de l'Église de la Nuit et du Diable.
Malgré sa petite coupe de cheveux carrée, maintenue d'un serre-terre et sa petite mini-jupe d'époque, Sabrina s'annoncera comme une demoiselle moderne, son style la rendra populaire, comme adoptant un genre rétro sexy et assumé.
L'adaptation tv n'hésitera pas non plus à moderniser le propos en incluant des thèmes ados, la puberté, le sexe, la romance, la quête d'identité et les affaires familiales.
Quid du Comics de 2019 proposé par Jelly Thomson et illustré par Veronica et Andy Fish?
Le scénario, les tantes et Harvey mis à part, déploiera une toute nouvelle distribution de jeunes personnages ados.
Cette version BD offrira sa propre version du personnage, une Sabrina moins sûre d'elle et prête à quelques charmes pour se faire accepter pour sa nouvelle rentrée à Greendale
Sabrina arrivera fraichement dans ce lieu rempli de "mortels" (comme elle les appelle) et ne sera pas encore très entourée.
L'inverse de la série tv, où notre Sabrina y sera bien établie depuis l'enfance, pétillante, populaire, enjouée et malicieuse.
Celle de la BD ne devra jamais utiliser la magie alors que celle de la série tv sera contrainte de s'en servir pour tenir son rang.
Sabrina, pourtant, s'accordera quelques entorses entre les pages pour améliorer l'efficacité du corps enseignant et ses cours, pour défendre aussi les élèves dans le besoin.
Un sujet à la mode et récurrent concernant les récits ados : le harcèlement.
Elle agira avec méfiance, réserve et distance- sa part plus familière étant celle magique tandis que dans la série, elle se présentera comme plus à l'aise dans le monde des humains et ses joies d'ados-.
Dès les premiers jours de sa rentrée, la magie la forcera à agir et les jeunes lecteurs pourront constater que les élèves de Greendale sont bourrés de secrets frayant avec la magie noire, que notre Sabrina est peut-être bien à sa place finalement.
Si la série TV se montrera plus jouissive pour un plus grand public, de grands spectateurs (grands ados, adultes), cette BD plus naïve, permettra aux jeunes pré-ados de se faire plaisir avec un Comics frissonnant de sorcières au look moderne.
Nous conserverons le très apprécié triangle amoureux autour de Sabrina avec cette fois Harvey (qui ne sait pas que la nouvelle élève est une sorcière/ Sabrina (qui ne sait pas choisir)/ Ren (moitié Wendigo mais qui l'ignore) -celui de la série étant : Harvey (humain)/Sabrina (demi humaine, demi sorcière) /Nicolas Scratch (sorcier) - .
Le problème de la responsabilité ne concernera pas que les affaires de mauvais sorts donc mais aussi les affaires de coeur.
La BD ne manquera pas de fraicheur et d'humour avec cette héroïne inexpérimentée et intrépide qui provoquera parfois des catastrophes magiques en souhaitant bien faire.
Cela peut offrir une bonne amorce pour découvrir le personnage dont on parle beaucoup sur différents médias.
