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Critique de BazaR
Voici donc Carol Danvers aka Captain Marvel nouvelle mouture. Ce début de série est pile synchro avec la sortie du fim éponyme. Ça m'intéressait de voir ce que les comics allaient faire de leur héroïne badass.
Eh bien je n'ai pas été déçu. Clairement, l'attention porte sur la mainmise du Girl Power sur le petit monde des super-héros. Toute l'équipe rédactionnelle est composée de filles : scénariste, dessinatrice, coloriste, et jusqu'à la traductrice française. Côté héroïnes : idem. Les filles fonctionnent en équipe – on pourrait même dire en armée – pour affronter le pire des malabars machistes jamais inventé par Marvel.
Faut dire qu'elles n'ont pas vraiment le choix, vu que le gars a coincé les nanas dans une partie de Manhattan ; une barrière derrière laquelle certaines de celles qui sont pourvues de pouvoirs s'en voient… dépourvu.
Il y a Captain Marvel bien sûr, plus badass et charmante que jamais, ses copines She-Hulk et Spider-Woman, mais aussi Echo (vue dans la série Hawkeye) et toute une armée derrière elles. Elles essaient de sortir de cet endroit en essayant de survivre à de sempiternelles attaques de gros robots bourrins. Elles ont de quoi faire cracher le méchant de service. Celui-ci là, pardon, mais quel naze ! L'Homme Nucléaire. Puissant, d'accord, mais misogyne jusqu'à la nausée. Femmes = reproductrices et nettoyeuses et esclaves, point. Il veut d'ailleurs faire de Carol sa femme.
Je vous jure ! On est loin de Docteur Fatalis et de Magnéto.
Lecture très fun. Il y a de l'action bien sûr. Ça cabotine sans arrêt entre les filles. Et les Avengers hommes ne font que de la figuration et se font botter les fesses.
Chose inattendue : il y a une histoire sentimentale entre Carol et James Rhodes (War Machine). On n'est assurément pas dans les films.
Bon, j'ai le deuxième tome sous la main. Je le lis et je vous dis quoi dans les prochaines semaines.
Eh bien je n'ai pas été déçu. Clairement, l'attention porte sur la mainmise du Girl Power sur le petit monde des super-héros. Toute l'équipe rédactionnelle est composée de filles : scénariste, dessinatrice, coloriste, et jusqu'à la traductrice française. Côté héroïnes : idem. Les filles fonctionnent en équipe – on pourrait même dire en armée – pour affronter le pire des malabars machistes jamais inventé par Marvel.
Faut dire qu'elles n'ont pas vraiment le choix, vu que le gars a coincé les nanas dans une partie de Manhattan ; une barrière derrière laquelle certaines de celles qui sont pourvues de pouvoirs s'en voient… dépourvu.
Il y a Captain Marvel bien sûr, plus badass et charmante que jamais, ses copines She-Hulk et Spider-Woman, mais aussi Echo (vue dans la série Hawkeye) et toute une armée derrière elles. Elles essaient de sortir de cet endroit en essayant de survivre à de sempiternelles attaques de gros robots bourrins. Elles ont de quoi faire cracher le méchant de service. Celui-ci là, pardon, mais quel naze ! L'Homme Nucléaire. Puissant, d'accord, mais misogyne jusqu'à la nausée. Femmes = reproductrices et nettoyeuses et esclaves, point. Il veut d'ailleurs faire de Carol sa femme.
Je vous jure ! On est loin de Docteur Fatalis et de Magnéto.
Lecture très fun. Il y a de l'action bien sûr. Ça cabotine sans arrêt entre les filles. Et les Avengers hommes ne font que de la figuration et se font botter les fesses.
Chose inattendue : il y a une histoire sentimentale entre Carol et James Rhodes (War Machine). On n'est assurément pas dans les films.
Bon, j'ai le deuxième tome sous la main. Je le lis et je vous dis quoi dans les prochaines semaines.
