Zéro construction, zéro intérêt, des personnages dont on se fout complètement (malgré quelques passages intéressants sur les addictions vues de l'intérieur), des phrases à effet qui sentent la sueur entre chaque mot sans parvenir à combler le vide. N'importe quelle page de
Jim Thompson vaut les 480 de
Boston Teran. Il faut du talent pour accompagner le goût du sang.
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