Ari a pris une chambre à l'hôtel de l'aéroport de Keflavik, dans les prochains jours il rendra visite à Jacob, son père, dont les jours sont comptés. Je retrouve le narrateur que j'avais quitté, en août 2015, après ma lecture de
D'ailleurs les poissons n'ont pas de pieds, j'ignorais alors que c'était le premier tome d'un diptyque. Comme dans le premier livre, le narrateur n'arrête pas de me balader entre aujourd'hui, les années soixante, les années quatre-vingt et le temps jadis ; je renoue aussi avec tous les personnages de cette saga familiale.
Cette fois encore, j'ai été sous le charme de la prose poétique de
Jón Kalman Stefánsson.
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