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Critique de Kez
Un livre lu dans le cadre d'une opération Babelio. Merci à eux et à l'éditeur.
Un polar que je conseille à tous ceux / celles qui en ont assez des livres pleins d'hémoglobine. Ce livre vous épargne cette partie. Et c'est bien agréable.
C'est un livre léger, pétillant. C'est curieux pour un policier. Mais on dirait presque que les crimes sont des prétextes à mettre en scène les autres personnages.
Il y a des jeux de mots et aussi des images éculées. Cela pourra exaspérer certains puristes. Personnellement cela m'a parfois amusée.
De la même façon, on va trouver des archétypes : un peu too much : un flic corse, très macho et inculte mais pas homophobe. Une commissaire de police femme mais comme cela ne suffit pas, elle est lesbienne. Un psy caricatural... Sans doute des personnages que l'on retrouvera dans un prochain roman si celui ci se vend bien.
Il y a des références à Franck Sinatra et des clins d'oeil culturels, qui sont explicités en bas de page. J'ai même découvert un mot Nazira.
Enfin et surtout il est beaucoup question de virilité, qui en devient presqu'un personnage.
En conclusion il y a autant de profondeur psychologique que d'hémoglobine dans ce livre : c'est à dire très peu. Mais j'ai passé un bon moment et c'est déjà très bien.
Un polar que je conseille à tous ceux / celles qui en ont assez des livres pleins d'hémoglobine. Ce livre vous épargne cette partie. Et c'est bien agréable.
C'est un livre léger, pétillant. C'est curieux pour un policier. Mais on dirait presque que les crimes sont des prétextes à mettre en scène les autres personnages.
Il y a des jeux de mots et aussi des images éculées. Cela pourra exaspérer certains puristes. Personnellement cela m'a parfois amusée.
De la même façon, on va trouver des archétypes : un peu too much : un flic corse, très macho et inculte mais pas homophobe. Une commissaire de police femme mais comme cela ne suffit pas, elle est lesbienne. Un psy caricatural... Sans doute des personnages que l'on retrouvera dans un prochain roman si celui ci se vend bien.
Il y a des références à Franck Sinatra et des clins d'oeil culturels, qui sont explicités en bas de page. J'ai même découvert un mot Nazira.
Enfin et surtout il est beaucoup question de virilité, qui en devient presqu'un personnage.
En conclusion il y a autant de profondeur psychologique que d'hémoglobine dans ce livre : c'est à dire très peu. Mais j'ai passé un bon moment et c'est déjà très bien.
