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Critique de Pennywise
On continue cette relecture de l'Histoire du monde par le prisme vampirique.
La période 54-59 offre aux non-morts quantités d'occasions de s'imposer et de faite leur trou parmi les vivants.
L'après-guerre, la guerre froide, l'émergence de Las Vegas, cette cité de tous les vices dont se nourrissent les vampires et la nouvelle influence d'Hollywood sur les moeurs américaines. Tous ces phénomènes sont autant de moyens de diviser les hommes et ainsi de profiter des dissensions pour les manipuler.
Un T3 qui ne détonne pas de son prédécesseur tant par ses dess(e)ins que par ses scénarios.
Un très bon cru.
Bonne lecture.
La période 54-59 offre aux non-morts quantités d'occasions de s'imposer et de faite leur trou parmi les vivants.
L'après-guerre, la guerre froide, l'émergence de Las Vegas, cette cité de tous les vices dont se nourrissent les vampires et la nouvelle influence d'Hollywood sur les moeurs américaines. Tous ces phénomènes sont autant de moyens de diviser les hommes et ainsi de profiter des dissensions pour les manipuler.
Un T3 qui ne détonne pas de son prédécesseur tant par ses dess(e)ins que par ses scénarios.
Un très bon cru.
Bonne lecture.
