C'est vrai que le personnage principal n'est pas très réaliste. Sa manie d'appeler sa coéquipière "vilaine fille" (chica mala ) vient peut-être des deux chansons espagnoles qui portent ce titre. Au final, j'ai bien digéré les 664 pages de ce roman plutôt bien équilibré avec tous ses déséquilibrés.
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