Le grand Gandhi ne ressort pas indemne après la lecture de ce roman. L'homme public fut fabuleux ; l'homme privé, dans ce tableau brossé par
Gilbert Sinoué, frise la perversité. Manipulateur, égocentrique et tyrannique, raciste à ses heures, le personnage m'est apparu nettement moins intègre que l'idée que je m'en étais faite.
Quant aux pratiques "non sexuelles" déviantes de l'homme, ce sont des présomptions, bien sûr, puisqu'il s'agit d'un roman... La réalité fut peut-être pire ou moindre...
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