Attirée par le commentaire apposé sur la 1ère de couverture " Un plaisir de lecture à la Dickens ", je n'ai pu faire autrement que de me procurer ce roman tout en m'écriant " Quoi, mon Dickens ! On ose faire une comparaison avec mon Dickens, quelle prétention !" . J'ai donc commencé la lecture de ce roman curieuse mais dubitative, et ce, d'autant plus que
le treizième conte de
Diane Setterfield m'avait bien déçue. Et ma foi, l'écriture et l'atmosphère, en effet dickensiennes, de cette histoire m'ont parfaitement ralliée à cette comparaison audacieuse.
Dans ce roman-fleuve (jeu de mot facile, je l'avoue), il est question d'une enfant morte puis ressuscitée, d'adultes qui se disputent sa paternité, d'une auberge dont les piliers s'enivrent de pintes et de joutes oratoires, de femmes courageuses, savantes, malheureuses, de fils indignes, de secrets de famille et de la Tamise.
Un roman très plaisant à découvrir.
Commenter  J’apprécie         292