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Critique de Newwavebac
Antoine Sénanque - Croix de Cendre**** - Rentrée littéraire 2023
Profitant de la rentrée littéraire, je me suis mis à lire en parallèle 9 livres de cette nouvelle rentrée parmi les 420 qui sortent. Mes critères de choix sont soit l'auteur (ainsi Reinhardt ou Férey), soit l'histoire et bien entendu les critiques qui en sont faites.
C'est étonnant à quel point cette rentrée littéraire est faite de livres qui prennent appui sur une figure de ce monde pour en faire une histoire : ainsi de Goya (Les Alchimies de Sarah Chiche), de Vivaldi (Le Grand feu de Léonor de Récondo), ou encore de Michel-Ange (Perspective(s) de Laurent Binet). Là, c'est Eckert, un grand théologien Dominicain du XIVè siècle, qui professait la capacité de l'homme d'être l'égal de Dieu. Battu en brêche par l'Inquisition, il sera ostracisé par l'Eglise même si elle n'ira pas jusqu'à le condamner…mais sa vengeance sera terrible…
Ce roman est assez complexe et commence de manière tonitruante avec le « couple » Antonin et Robert. On pense évidemment immédiatement au Nom de la Rose (la concupiscence de nos deux héros n'a rien à envier à celui-là). Mais l'histoire va être dramatique et met en jeu l'écriture d'un livre sulfureux dicté par le prieur Guillaume à Antonin qui explique comment la Peste est arrivée en Europe, l'arrestation De Robert par l'Inquisiteur pour faire pression afin que ce livre lui permette de devenir Cardinal et l'histoire de Guillaume auprès d'Eckert.
C'est très beau, pas si facile que cela à lire, mais cela ne doit pas rebuter les futurs lecteurs. Dans ce livre on a l'aventure, la religion, l'histoire et l'introspection. Un beau roman (?), très bien écrit.
Profitant de la rentrée littéraire, je me suis mis à lire en parallèle 9 livres de cette nouvelle rentrée parmi les 420 qui sortent. Mes critères de choix sont soit l'auteur (ainsi Reinhardt ou Férey), soit l'histoire et bien entendu les critiques qui en sont faites.
C'est étonnant à quel point cette rentrée littéraire est faite de livres qui prennent appui sur une figure de ce monde pour en faire une histoire : ainsi de Goya (Les Alchimies de Sarah Chiche), de Vivaldi (Le Grand feu de Léonor de Récondo), ou encore de Michel-Ange (Perspective(s) de Laurent Binet). Là, c'est Eckert, un grand théologien Dominicain du XIVè siècle, qui professait la capacité de l'homme d'être l'égal de Dieu. Battu en brêche par l'Inquisition, il sera ostracisé par l'Eglise même si elle n'ira pas jusqu'à le condamner…mais sa vengeance sera terrible…
Ce roman est assez complexe et commence de manière tonitruante avec le « couple » Antonin et Robert. On pense évidemment immédiatement au Nom de la Rose (la concupiscence de nos deux héros n'a rien à envier à celui-là). Mais l'histoire va être dramatique et met en jeu l'écriture d'un livre sulfureux dicté par le prieur Guillaume à Antonin qui explique comment la Peste est arrivée en Europe, l'arrestation De Robert par l'Inquisiteur pour faire pression afin que ce livre lui permette de devenir Cardinal et l'histoire de Guillaume auprès d'Eckert.
C'est très beau, pas si facile que cela à lire, mais cela ne doit pas rebuter les futurs lecteurs. Dans ce livre on a l'aventure, la religion, l'histoire et l'introspection. Un beau roman (?), très bien écrit.
