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Critique de iz43
Que c'est beau !
J'ai découvert la plume de l'auteur il y a quelques semaines avec un recueil de nouvelles (la vengeance du pardon) qui m'avait moyennement emballé (trop sombre notamment).
Et là ! Je tombe sous le charme d'un roman qui me parle d'un petit garçon de 10 ans dans un hôpital et qui va bientôt mourir. Si ça ce n'est pas sombre !
Et bien non ! L'auteur réussit le tour de force d'en faire un roman lumineux, magique, souvent drôle et apaisant.
Les traitements d'Oscar ne fonctionnent plus. Il n'y a plus d'espoir. Les parents et le médecin n'osent rien dire à Oscar. Comment dire à un enfant qu'il va mourir? Mais Oscar le comprend tout seul. Et heureusement mamie Rose (les bénévoles qui visitent les petits malades) va être de précieux conseil. Elle va proposer à Oscar de vivre les derniers jours intensément (Oscar aura alors 15 ans, 20 ans ,30 ans...) et d'écrire à Dieu même s'il n'y croit pas. Oscar écrit alors des lettres attendrissantes, drôles, pleines de sagesse et de bon sens. L'intrusion de Dieu dans le roman n'a finalement pas de vraie connotation religieuse. Les lettres sont plutôt un exutoire, une façon de coucher ses pensées sur le papier, de mettre en mots ses sentiments et ses craintes.
Il y a toute une galerie de personnages attachants autour d'Oscar: d'autres petits malades (dont Peggy Blue) ou mamie Rose une ancienne catcheuse dont les anecdotes sont désopilantes.
Et surtout Oscar est un sacré petit bonhomme.
Un roman court mais intense qui mérite le qualificatif de "roman culte".
J'ai découvert la plume de l'auteur il y a quelques semaines avec un recueil de nouvelles (la vengeance du pardon) qui m'avait moyennement emballé (trop sombre notamment).
Et là ! Je tombe sous le charme d'un roman qui me parle d'un petit garçon de 10 ans dans un hôpital et qui va bientôt mourir. Si ça ce n'est pas sombre !
Et bien non ! L'auteur réussit le tour de force d'en faire un roman lumineux, magique, souvent drôle et apaisant.
Les traitements d'Oscar ne fonctionnent plus. Il n'y a plus d'espoir. Les parents et le médecin n'osent rien dire à Oscar. Comment dire à un enfant qu'il va mourir? Mais Oscar le comprend tout seul. Et heureusement mamie Rose (les bénévoles qui visitent les petits malades) va être de précieux conseil. Elle va proposer à Oscar de vivre les derniers jours intensément (Oscar aura alors 15 ans, 20 ans ,30 ans...) et d'écrire à Dieu même s'il n'y croit pas. Oscar écrit alors des lettres attendrissantes, drôles, pleines de sagesse et de bon sens. L'intrusion de Dieu dans le roman n'a finalement pas de vraie connotation religieuse. Les lettres sont plutôt un exutoire, une façon de coucher ses pensées sur le papier, de mettre en mots ses sentiments et ses craintes.
Il y a toute une galerie de personnages attachants autour d'Oscar: d'autres petits malades (dont Peggy Blue) ou mamie Rose une ancienne catcheuse dont les anecdotes sont désopilantes.
Et surtout Oscar est un sacré petit bonhomme.
Un roman court mais intense qui mérite le qualificatif de "roman culte".
