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Critique de Arthemyce
Quantix a pour objectif de vulgariser les fondements de la Physique Quantique sans oublier l'importance de la mécanique relativiste.
C'est donc par celle-ci que s'ouvre l'ouvrage, projetant Einstein au coeur de la scène. On y retrouve le jeune Albert en 1905, « l'annus mirabilis » pendant laquelle il publiera quatre articles, tous ayant eu un impact majeur, dont un expose les principes de la relativité (restreinte : ne considérant pas la gravité) et dont le dernier finira de canoniser son nom grâce à la très célèbre équation E = MC².
Le concept de relativité n'étant pas évident à saisir de prime abord pour nous, humains, qui n'avons encore jamais approché personnellement des vitesses proches de celle de la lumière, est exposé de différentes manières – un cycliste à vive allure vieillit « moins vite » qu'un observateur immobile sur son banc ou encore des E.T. cherchant à attraper un bouquet de photons – ce qui permet, certes, d'observer le phénomène sous différents angles mais m'a semblé un peu rapide (sans mauvais jeu de mot !).
La suite présente les différentes évolutions théoriques ayant vu le jour durant tout le XXème siècle : la dualité onde/corpuscule, les modèles d’atomes, les particules élémentaires, le déterminisme ou le pur hasard… L'expérience des Fentes d'Young garde une place importante tout au long de l'ouvrage par sa simplicité de mise en œuvre et des observations étonnantes qu’elle permet (malgré qu'elle puisse paraitre déconcertante, là encore de prime abord).
Côté planches, c'est vivant et coloré, bien rythmé. Beaucoup d'humour ici et là, permis par l'illustration des différents phénomènes exposés dans des situations de la vie banale d'un petit groupe d'amis.
L'ensemble est cohérent et bien structuré, accessible si on n'est pas rebuté d'entrée de jeu par la relativité restreinte et donc se lit assez facilement. Dans le même genre d'exercice toutefois, ma préférence ira tout de même vers « Le Mystère du Monde Quantique », autre BD sur le même thème, à la pédagogie plus fine à mon humble avis.
C'est donc par celle-ci que s'ouvre l'ouvrage, projetant Einstein au coeur de la scène. On y retrouve le jeune Albert en 1905, « l'annus mirabilis » pendant laquelle il publiera quatre articles, tous ayant eu un impact majeur, dont un expose les principes de la relativité (restreinte : ne considérant pas la gravité) et dont le dernier finira de canoniser son nom grâce à la très célèbre équation E = MC².
Le concept de relativité n'étant pas évident à saisir de prime abord pour nous, humains, qui n'avons encore jamais approché personnellement des vitesses proches de celle de la lumière, est exposé de différentes manières – un cycliste à vive allure vieillit « moins vite » qu'un observateur immobile sur son banc ou encore des E.T. cherchant à attraper un bouquet de photons – ce qui permet, certes, d'observer le phénomène sous différents angles mais m'a semblé un peu rapide (sans mauvais jeu de mot !).
La suite présente les différentes évolutions théoriques ayant vu le jour durant tout le XXème siècle : la dualité onde/corpuscule, les modèles d’atomes, les particules élémentaires, le déterminisme ou le pur hasard… L'expérience des Fentes d'Young garde une place importante tout au long de l'ouvrage par sa simplicité de mise en œuvre et des observations étonnantes qu’elle permet (malgré qu'elle puisse paraitre déconcertante, là encore de prime abord).
Côté planches, c'est vivant et coloré, bien rythmé. Beaucoup d'humour ici et là, permis par l'illustration des différents phénomènes exposés dans des situations de la vie banale d'un petit groupe d'amis.
L'ensemble est cohérent et bien structuré, accessible si on n'est pas rebuté d'entrée de jeu par la relativité restreinte et donc se lit assez facilement. Dans le même genre d'exercice toutefois, ma préférence ira tout de même vers « Le Mystère du Monde Quantique », autre BD sur le même thème, à la pédagogie plus fine à mon humble avis.
