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Critique de Kez
Décidément ce roman fleuve qui était tellement bien écrit au départ, devient de moins en moins intéressant.
Romain Rolland a quand même obtenu le prix Nobel de littérature en 1915 et était célébré par Zweig comme un très grand auteur... Et bien dans ce volume, on passe de la misère qu'Olivier veut soulager, aux événements politiques qui vont faire que Christophe après avoir tué un gendarme doit fuir vers la Suisse.
Là il apprendra que dans cette même journée de révolte, Olivier a été tué. Fou de douleur, il se réfugie chez un couple. Il va s'emmouracher de la femme Anna. Jeune femme qui est Piétiste (courant religieux de l'église luthérienne au xviiies., centré sur une spiritualité évangélique, une piété affective individuelle, un certain mysticisme et s'éloignant des problèmes doctrinaux, qui exerça une influence considérable sur l'évolution du luthéranisme.)
Cette femme , une orpheline qui a été rejeté par la ville (car issue d'un mariage non approuvé par la famille paternelle) et qui a vécu sous la coupe d'une grand mère austère et sans amour, Rolland la dépeint de façon très antipathique...
Par contre le beau Christophe qui tue un homme, est en partie coupable de la mort de son ami, et trompe allègrement son hôte va sombrer dans la folie. Car lui qui devait se suicider avec Anna va finalement fuir...
On a alors droit à des pages sur la souffrance des animaux. Finalement misogyne mais antispéciste avant l'heure ce Mr Rolland.
Et puis oh merveille, oh gloire, il y a rédemption car Christophe redécouvre Dieu... N'est ce pas extraordinaire? D'où le nom de ce volume... ET non ce n'était pas une plaisanterie grivoise, il s'en retournerait dans sa tombe; le bon Mr Rolland.
Enfin, cet aparté à part, hop Christophe, qui ne pouvait pas, plus composer, retrouve toutes ses capacités.
Par contre ce qu'il est advenu de la pauvre Anna (morte ou pas) et de son mari, cela on ne le saura pas. En tout cas, pas dans ce tome...
Heureusement il ne reste qu'un volume...
Romain Rolland a quand même obtenu le prix Nobel de littérature en 1915 et était célébré par Zweig comme un très grand auteur... Et bien dans ce volume, on passe de la misère qu'Olivier veut soulager, aux événements politiques qui vont faire que Christophe après avoir tué un gendarme doit fuir vers la Suisse.
Là il apprendra que dans cette même journée de révolte, Olivier a été tué. Fou de douleur, il se réfugie chez un couple. Il va s'emmouracher de la femme Anna. Jeune femme qui est Piétiste (courant religieux de l'église luthérienne au xviiies., centré sur une spiritualité évangélique, une piété affective individuelle, un certain mysticisme et s'éloignant des problèmes doctrinaux, qui exerça une influence considérable sur l'évolution du luthéranisme.)
Cette femme , une orpheline qui a été rejeté par la ville (car issue d'un mariage non approuvé par la famille paternelle) et qui a vécu sous la coupe d'une grand mère austère et sans amour, Rolland la dépeint de façon très antipathique...
Par contre le beau Christophe qui tue un homme, est en partie coupable de la mort de son ami, et trompe allègrement son hôte va sombrer dans la folie. Car lui qui devait se suicider avec Anna va finalement fuir...
On a alors droit à des pages sur la souffrance des animaux. Finalement misogyne mais antispéciste avant l'heure ce Mr Rolland.
Et puis oh merveille, oh gloire, il y a rédemption car Christophe redécouvre Dieu... N'est ce pas extraordinaire? D'où le nom de ce volume... ET non ce n'était pas une plaisanterie grivoise, il s'en retournerait dans sa tombe; le bon Mr Rolland.
Enfin, cet aparté à part, hop Christophe, qui ne pouvait pas, plus composer, retrouve toutes ses capacités.
Par contre ce qu'il est advenu de la pauvre Anna (morte ou pas) et de son mari, cela on ne le saura pas. En tout cas, pas dans ce tome...
Heureusement il ne reste qu'un volume...
