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Critique de Mladoria
Et un nouveau titre chez Autres mondes déniché en bibli, autant dire que je me suis jetée dessus, d'autant que cette couverture me fait envie depuis un certain nombre d'années.
Nous sommes sur une autre planète (on le présume vu qu'il y a deux lunes), dans une ville côtière nommé Sprague. Enfin côtière jusqu'à il y a deux ans, date à laquelle la mer s'est retirée pour ne plus revenir. Les jumeaux Pip et Viv ont chacun leur spécifité : l'un sondeur, l'autre grimpeur ; ils inspectent le terrain pour détecter le retour de l'eau par le sol ou l'horizon. Un jour, ils décident qu'attendre la mer ne sert à rien et qu'il vaut mieux aller à sa rencontre et surtout savoir pourquoi elle s'est retirée.
Si le roman est trufffé de très chouettes décors, des créatures originales étrangement proches de créatures terrestres mutantes, d'aventures pseudo-piratesques assez palpitantes, la fin... m'a laissée sur ma faim. Mais et je dis bien mais, les explications sont là, rapides certes, incomplètes et laissant place aux questionnements. J'aime ce côté planet opera façon "larguage dans le vide et débrouille toi". Non, c'est le tout dernier chapitre qui m'a gênée et à mon sens n'a que peu d'intérêt, les 10 dernières pages m'ont un peu gâché le truc et c'est là que je me suis rendue compte que j'étais dans un roman pour très jeunes ados. Avant, le roman est certes simple, les chapitres courts, les personnages brossés correctement mais sans trop, on sait qu'on est dans un roman jeunesse mais la qualité de l'histoire et la richesse du vocabulaire nautique notamment éclipse du moins partiellement ce petit côté "vite fait" et là la fin arrive avec ses gros sabots.
Bref, une très chouette lecture comme souvent avec cette collection, un peu gâchée par une fin qui aurait pu être beaucoup plus sympa.
Nous sommes sur une autre planète (on le présume vu qu'il y a deux lunes), dans une ville côtière nommé Sprague. Enfin côtière jusqu'à il y a deux ans, date à laquelle la mer s'est retirée pour ne plus revenir. Les jumeaux Pip et Viv ont chacun leur spécifité : l'un sondeur, l'autre grimpeur ; ils inspectent le terrain pour détecter le retour de l'eau par le sol ou l'horizon. Un jour, ils décident qu'attendre la mer ne sert à rien et qu'il vaut mieux aller à sa rencontre et surtout savoir pourquoi elle s'est retirée.
Si le roman est trufffé de très chouettes décors, des créatures originales étrangement proches de créatures terrestres mutantes, d'aventures pseudo-piratesques assez palpitantes, la fin... m'a laissée sur ma faim. Mais et je dis bien mais, les explications sont là, rapides certes, incomplètes et laissant place aux questionnements. J'aime ce côté planet opera façon "larguage dans le vide et débrouille toi". Non, c'est le tout dernier chapitre qui m'a gênée et à mon sens n'a que peu d'intérêt, les 10 dernières pages m'ont un peu gâché le truc et c'est là que je me suis rendue compte que j'étais dans un roman pour très jeunes ados. Avant, le roman est certes simple, les chapitres courts, les personnages brossés correctement mais sans trop, on sait qu'on est dans un roman jeunesse mais la qualité de l'histoire et la richesse du vocabulaire nautique notamment éclipse du moins partiellement ce petit côté "vite fait" et là la fin arrive avec ses gros sabots.
Bref, une très chouette lecture comme souvent avec cette collection, un peu gâchée par une fin qui aurait pu être beaucoup plus sympa.
