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Critique de marijardin
Un bon début, des descriptions sanglantes qui satisferont la facette gothique de nos esprits. Mme Reichs sait si bien décrire son passionnant et macabre métier qu'on aimerait qu'elle insiste d'avantage sur ses opérations. Mais j'ai trouvé que l'intrigue s'essoufflait vite et l'on peut se demander si elle ne recourt pas un peu trop facilement à la grosse machinerie de la société secrète, histoire de donner dans le sensationnel et de remplir les pages.
Le rayon d'action du personnage principal est à mon goût un peu trop étendu pour être réaliste. Nous laisserait-on croire qu'une anthropologue judiciaire peut mener une enquête comme ça ? le propos aurait peut être gagné en réalisme si le roman n'avait pas été écrit à la première personne. Ainsi le lecteur aurait pu suivre l'enquête sous des éclairages différents.
J'avoue également que je me suis un peu perdue dans les sigles (aucune lettre de l'alphabet ne nous est épargnée !) autant que dans les fonctions des protagonistes, mais peut être est-ce dû au fait que je prends la saga du docteur Temperance Brennan en route...
Le rayon d'action du personnage principal est à mon goût un peu trop étendu pour être réaliste. Nous laisserait-on croire qu'une anthropologue judiciaire peut mener une enquête comme ça ? le propos aurait peut être gagné en réalisme si le roman n'avait pas été écrit à la première personne. Ainsi le lecteur aurait pu suivre l'enquête sous des éclairages différents.
J'avoue également que je me suis un peu perdue dans les sigles (aucune lettre de l'alphabet ne nous est épargnée !) autant que dans les fonctions des protagonistes, mais peut être est-ce dû au fait que je prends la saga du docteur Temperance Brennan en route...
