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Nathalie Quintane est un plaisir qui se gagne à l'effort. Rien ne nous est donné, rien ne nous flatte, ne nous courtise. Son
Jeanne Darc n'échappe pas à la règle. Cette autrice, qu'
Alain Farah range parmi les post-avant-gardistes, bouscule le lecteur en supprimant tous – absolument tous – les repères grâce auxquels il se guide habituellement à travers une oeuvre de poésie.
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