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Critique de Maylen


Dans un univers où les lois de la physique sont plus souples qu'un spaghetti trop cuit, et où la magie est aussi courante et imprévisible que les éternuements d'un rhume en hiver, Terry Pratchett nous dévoile "La Huitième Couleur", un livre qui ferait passer Lewis Carroll pour un auteur de pacotille.

Préparez-vous à rencontrer des bagages carnivores, des épées bavardes, des dragons transparents et une tortue géante qui porte le monde sur sa carapace et qui se carapate. Au périple de ma lecture, j'ai eu l'impression d'avoir pris mes vacances dans le souk, ce joyeux bazar fantastique, ce tourbillon d'humour et d'absurdité qui m'a laissé un sourire aussi large que celui du Chat du Cheshire.

Tout ce mélange d'absurde et de loufoque sur une palette fantaisiste nous donne cette unique couleur : L'octarine. La grande vainqueur du tournoi de Yams des dieux, avec pour concurrents la 𝖒𝖔𝖗𝖙 ✞et le 𝖘𝖔𝖓-𝖗é𝖋𝖑é𝖈𝖍𝖎-𝖉'𝖊𝖘𝖕𝖗𝖎𝖙𝖘-𝖘𝖔𝖚𝖙𝖊𝖗𝖗𝖆𝖎𝖓𝖘
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