Après avoir lu
Trois et
Les Oubliés du dimanche, j'ai retrouvé la plume de
Valérie Perrin et toutes les similitudes entre ses histoires. J'ai trouvé ce roman à la fois sombre et lumineux - vraiment entre la lumière des Oubliés du dimanche et le côté sombre et mélancolique de
Trois.
La plume de l'autrice est toujours pleine d'émotions. Elle réussit à présenter des situations de la vie qui sont sombres, mais qui évoluent vers un meilleur, une éclosion.
J'avoue que le côté sombre de ce roman m'a beaucoup plombé le moral, avec les difficultés traversées par Violette dans son enfance et ses jeunes années. Se mettre dans sa peau est malaisant, surtout la première moitié du roman.
On retrouve toujours un côté un peu policier avec une enquête également, on explore des souvenirs, différentes époques, et il y a vraiment des similitudes entre tous ses romans. J'ai presque une trop forte impression de déjà vu - et en même temps ça reste la plume de
Valérie Perrin, son style et ce qu'elle transmet.
Je sors de cette lecture sans vraiment de surprises, sans l'avoir intensément apprécié, sans l'avoir détesté... Je le compare trop aux autres et c'est sûrement mon erreur !
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