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Critique de Bibiofeel
Après avoir manqué sa correspondance à l'aéroport de Bahreïn, la narratrice, en route vers l'Inde pour suivre les traces de son père récemment décédé, passe la nuit dans un hôtel où elle rencontre Meena, une Afghane se rendant à Kaboul pour voir son père mourant. Cette rencontre bouleverse sa vie. Meena partage son histoire : sa jeunesse, son frère, son mari, son périlleux exil vers l'Europe jusqu'en Allemagne où elle réside.
Cécile Oumhani, également poète, imprègne ce récit d'une grande beauté et intensité poétique. Son écriture est marquée par l'insertion de poèmes qui enrichissent le texte. L'aéroport et l'hôtel, lieux de passages et de rencontres improbables deviennent le théâtre de ce récit poignant où deux femmes, que tout semblait opposer, trouvent un terrain commun dans leur douleur et leur quête de sens.
Le livre aborde des thèmes universels et intemporels tels que l'exil, la guerre, et la condition des femmes, explorant comment ces expériences façonnent et transforment ceux qui les vivent. La plume de Cécile Oumhani est à la fois délicate et puissante.
Ce récit rend hommage à la force des femmes et à la beauté des échanges humains inattendus.
Cécile Oumhani, également poète, imprègne ce récit d'une grande beauté et intensité poétique. Son écriture est marquée par l'insertion de poèmes qui enrichissent le texte. L'aéroport et l'hôtel, lieux de passages et de rencontres improbables deviennent le théâtre de ce récit poignant où deux femmes, que tout semblait opposer, trouvent un terrain commun dans leur douleur et leur quête de sens.
Le livre aborde des thèmes universels et intemporels tels que l'exil, la guerre, et la condition des femmes, explorant comment ces expériences façonnent et transforment ceux qui les vivent. La plume de Cécile Oumhani est à la fois délicate et puissante.
Ce récit rend hommage à la force des femmes et à la beauté des échanges humains inattendus.
