Voyous, flics ripoux, baises tarifées... aucun personnage auquel m'attacher et une histoire qui fait un inventaire des trafics et embrouilles du casse de banque au chantage et manipulation en passant par l'assassinat rituel d'enfant (non gabonais) pour assurer la réussite politique le tout finissant pareil. Et la langue inventive m'a paru forcée, et répétitive. Reste le Gabon. Bref, ce polar noir confirme que je ne suis pas une lectrice pour ce genre-là.
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