On retrouve César dont la femme, Paz, est morte dans le précédent livre «
Plonger »
Deux ans après, il n'est toujours pas remis de la mort de Paz, et malgré leur petit garçon de six ans, décide de se suicider.
C'est alors que sonne à sa porte sa jeune voisine, étudiante grecque, originale, érudite, et qui va changer le cours de sa vie.
C'est très poétique, très triste, très branché littérature ancienne.
On est entre Paris, l'Italie et la Grèce pour finir au Japon.
C'est assez lancinant et nostalgique comme histoire.
Une belle histoire d'amour post-mortem qui tourne assez vite au conte moderne.
Commenter  J’apprécie         170