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Critique de Fleurdesiles97120
Âmes sensibles, ne lisez pas ce livre. Moi qui le suis, cette lecture a été une véritable torture. J'en ressors écoeurée, dégoutée. Mais je l'ai quand même finis (car j'ai du mal à laisser un livre entamé sans le finir).
Je ne sais pas pourquoi c'est ce titre de Joyce Carol Oates que j'ai décidé de lire pour un challenge mais je le regrette amèrement.
Nous sommes dans la tête de Quentin P. 30 ans, fils d'un éminent professeur d'université. Quentin a échappé de peu à la prison après qu'il ait agressé sexuellement un adolescent noir. Déja ça commence bien. Il écope de 2 ans de mise à l'épreuve, certainement grâce à la notoriété de son nom de famille et à son avocat. Mais ce que ne savent pas ni sa mère, ni son père, ni son avocat, ni son contrôleur judiciaire, ni personne en fait, c'est que Quentin a un projet. le projet de faire son propre ZOMBI. Oui ZOMBI sans E.
Un être dépourvu de conscience, qui ne serait là que assouvir TOUS les désirs de son maître Quentin.
Quentin s'est renseigné & pense que seule la lobotomisation d'un sujet pourrait parvenir à créer son ZOMBI. & pour lobotomiser un homme, il faut lui enfoncer un pic à travers le lobe orbital jusqu'a une zone du cortex préfontal. & il faut surtout que le sujet reste vivant. Sinon adieu ZOMBI. C'est super glamour tout ça alors imaginez ce texte accompagné d'une image expliquant le déroulé de l'opération... Donc pour parvenir à ses fins, notre petit Quentin décide de kidnapper des jeunes hommes normalement sans attaches, que personne ne viendra réclamer si ils disparaissaient. & avant de les opérer (charcuter), il les enc***ent (sinon ça ne serait pas drôle).
Voili voilou. Voilà ce que l'esprit dérangé de Joyce Carol Oates a pondu. Pourtant il me semblait que sa bibliographie ne tendait pas vers le gore... On m'aurait menti?
J'ai mis deux étoiles pour l'imagination fertile de l'autrice et pour le style de l'écriture (tous les "et" sont remplacés par des & ce qui est assez pertubant, et l'écriture à la première personne renforce le sentiment de malaise de ce livre).
Enfin bref... Je ressors de ma lecture profondément déboussolée et avec une furieuse envie de me laver les yeux...
Je ne sais pas pourquoi c'est ce titre de Joyce Carol Oates que j'ai décidé de lire pour un challenge mais je le regrette amèrement.
Nous sommes dans la tête de Quentin P. 30 ans, fils d'un éminent professeur d'université. Quentin a échappé de peu à la prison après qu'il ait agressé sexuellement un adolescent noir. Déja ça commence bien. Il écope de 2 ans de mise à l'épreuve, certainement grâce à la notoriété de son nom de famille et à son avocat. Mais ce que ne savent pas ni sa mère, ni son père, ni son avocat, ni son contrôleur judiciaire, ni personne en fait, c'est que Quentin a un projet. le projet de faire son propre ZOMBI. Oui ZOMBI sans E.
Un être dépourvu de conscience, qui ne serait là que assouvir TOUS les désirs de son maître Quentin.
Quentin s'est renseigné & pense que seule la lobotomisation d'un sujet pourrait parvenir à créer son ZOMBI. & pour lobotomiser un homme, il faut lui enfoncer un pic à travers le lobe orbital jusqu'a une zone du cortex préfontal. & il faut surtout que le sujet reste vivant. Sinon adieu ZOMBI. C'est super glamour tout ça alors imaginez ce texte accompagné d'une image expliquant le déroulé de l'opération... Donc pour parvenir à ses fins, notre petit Quentin décide de kidnapper des jeunes hommes normalement sans attaches, que personne ne viendra réclamer si ils disparaissaient. & avant de les opérer (charcuter), il les enc***ent (sinon ça ne serait pas drôle).
Voili voilou. Voilà ce que l'esprit dérangé de Joyce Carol Oates a pondu. Pourtant il me semblait que sa bibliographie ne tendait pas vers le gore... On m'aurait menti?
J'ai mis deux étoiles pour l'imagination fertile de l'autrice et pour le style de l'écriture (tous les "et" sont remplacés par des & ce qui est assez pertubant, et l'écriture à la première personne renforce le sentiment de malaise de ce livre).
Enfin bref... Je ressors de ma lecture profondément déboussolée et avec une furieuse envie de me laver les yeux...
