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Critique de Andraste
Je remercie les éditions Graph Zeppelin et Babelio pour l'envoi de cette bande-dessinée.
Dans cet ouvrage, on suit l'histoire de Sapphô, femme poétesse grecque. Son nom ne m'était pas inconnu jusqu'ici mais je dois avouer en avoir appris davantage grâce à cet ouvrage. Il ne faut pas s'attendre à un biographie complète et détaillée, ceci dit on découvre qui était cette femme, quels étaient ses enseignements ainsi que son rôle en Antiquité.
Cette bande dessinée nous fait ressentir les diverses émotions de Sapphô, tantôt joyeuse, tantôt triste, un lien puissant la lie à ses élèves. le temps passe et elle ne cesse de sombrer dans l'obscurité. Elle prend conscience qu'elle n'est pas une divinité et que son temps de vie est compté, elle n'est pas immortelle. S'en suit des déceptions, des remises en questions, des espoirs flétris...
Mon ressenti face à cette bande dessinée est assez mitigé. J'ai apprécié la volonté de l'autrice de garder le caractère antique de l'oeuvre et son personnage principal. La police d'écriture ressemble énormément aux écrits grecs et les couleurs et illustrations sont fidèles aux représentations de l'histoire de l'art. Cependant, je me suis trouvée gênée par les multiples sentiments de Sapphô, de son trait de personnalité "exclusif" et "égoïste". Mon ressenti n'a rien à voir avec l'ouvrage en lui-même mais je n'ai spécialement pas apprécié le personnage de l'instructrice. Ses réactions, malgré son envie de bien faire, m'ont déroutés à plusieurs reprises.
Dans cet ouvrage, on suit l'histoire de Sapphô, femme poétesse grecque. Son nom ne m'était pas inconnu jusqu'ici mais je dois avouer en avoir appris davantage grâce à cet ouvrage. Il ne faut pas s'attendre à un biographie complète et détaillée, ceci dit on découvre qui était cette femme, quels étaient ses enseignements ainsi que son rôle en Antiquité.
Cette bande dessinée nous fait ressentir les diverses émotions de Sapphô, tantôt joyeuse, tantôt triste, un lien puissant la lie à ses élèves. le temps passe et elle ne cesse de sombrer dans l'obscurité. Elle prend conscience qu'elle n'est pas une divinité et que son temps de vie est compté, elle n'est pas immortelle. S'en suit des déceptions, des remises en questions, des espoirs flétris...
Mon ressenti face à cette bande dessinée est assez mitigé. J'ai apprécié la volonté de l'autrice de garder le caractère antique de l'oeuvre et son personnage principal. La police d'écriture ressemble énormément aux écrits grecs et les couleurs et illustrations sont fidèles aux représentations de l'histoire de l'art. Cependant, je me suis trouvée gênée par les multiples sentiments de Sapphô, de son trait de personnalité "exclusif" et "égoïste". Mon ressenti n'a rien à voir avec l'ouvrage en lui-même mais je n'ai spécialement pas apprécié le personnage de l'instructrice. Ses réactions, malgré son envie de bien faire, m'ont déroutés à plusieurs reprises.
