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Critique de Butterflies
A peine publié en août 2020, « Betty » a déjà fait parlé de lui (ou d'elle). Récompensé plusieurs fois:
Prix du roman Fnac 2020
Prix America du meilleur roman 2020
Roman étranger préféré des libraires – Palmarès Livres Hebdo 2020
Prix des lecteurs de la Librairie Nouvelle de Voiron
Prix des lecteurs des librairies Attitudes
Sélectionné parmi les 100 livres de l'année 2020 par le magazine Lire
Encensé par la critique et les lecteurs. On me l'a chaudement recommandé et moi-même, sa couverture colorée et laissant mon imaginaire initier sa propre histoire m'avait attirée. Celle-ci montre une jeune fille découpée dans des volutes bleutées et violines, évoquant les fumées des contes du père cherokee de l'héroïne et sa représentation tripartite, ses tiraillements intérieurs. Les lettres du prénom de Betty comme autant de nuages, bercés par les vagues des volutes. Je l'avais inscrit à ma PAL. Et ma résa à la médiathèque ne donnant rien deux mois après à Strasbourg, j'étais sur d'autres lectures quand, dans l'Allier où je suis en vacances, je tombe dessus! Tout beau, tout neuf, il m'attendait! Acquis par la médiathèque de Chamblet en février dernier. J'ai saisi l'occasion et quel plaisir de découvrir ce roman!
« Betty » c'est l'histoire d'une famille dans l'Amérique des années soixante mais c'est aussi beaucoup plus que cela. La maman est blonde comme les blés et le papa est brun comme le charbon à la peau brune, il descend des Cherokee. Ensemble malgré l'époque et Betty nous raconte leur histoire, celle de ses nombreux frères et soeurs, le racisme, la pauvreté, les secrets, la magie de ce père extraordinaire, les tourments de cette mère, qui porte son histoire. On suit leur cheminement, on espère des lendemains meilleurs, on craint les réactions hostiles des américains blancs moyens, on pleure les drames , qui vont baliser leurs vies et on s'émerveille de la façon dont ils la mènent, dont Landon, le père transforme chaque chose banale en mythe ou en chose extraordinaire. Comment il rend un évènement désagréable ou laid en quelque chose de beau. Cet homme, que la vie aurait dû rendre amer à force d'injustices est bon et rempli d'imagination et de ressources face à l'adversité. Betty entretient..[ suite sur https://blogapostrophe.wordpress.com/2021/07/14/betty-de-tiffany-mc-daniel/]
Lien : https://blogapostrophe.wordp..
Prix du roman Fnac 2020
Prix America du meilleur roman 2020
Roman étranger préféré des libraires – Palmarès Livres Hebdo 2020
Prix des lecteurs de la Librairie Nouvelle de Voiron
Prix des lecteurs des librairies Attitudes
Sélectionné parmi les 100 livres de l'année 2020 par le magazine Lire
Encensé par la critique et les lecteurs. On me l'a chaudement recommandé et moi-même, sa couverture colorée et laissant mon imaginaire initier sa propre histoire m'avait attirée. Celle-ci montre une jeune fille découpée dans des volutes bleutées et violines, évoquant les fumées des contes du père cherokee de l'héroïne et sa représentation tripartite, ses tiraillements intérieurs. Les lettres du prénom de Betty comme autant de nuages, bercés par les vagues des volutes. Je l'avais inscrit à ma PAL. Et ma résa à la médiathèque ne donnant rien deux mois après à Strasbourg, j'étais sur d'autres lectures quand, dans l'Allier où je suis en vacances, je tombe dessus! Tout beau, tout neuf, il m'attendait! Acquis par la médiathèque de Chamblet en février dernier. J'ai saisi l'occasion et quel plaisir de découvrir ce roman!
« Betty » c'est l'histoire d'une famille dans l'Amérique des années soixante mais c'est aussi beaucoup plus que cela. La maman est blonde comme les blés et le papa est brun comme le charbon à la peau brune, il descend des Cherokee. Ensemble malgré l'époque et Betty nous raconte leur histoire, celle de ses nombreux frères et soeurs, le racisme, la pauvreté, les secrets, la magie de ce père extraordinaire, les tourments de cette mère, qui porte son histoire. On suit leur cheminement, on espère des lendemains meilleurs, on craint les réactions hostiles des américains blancs moyens, on pleure les drames , qui vont baliser leurs vies et on s'émerveille de la façon dont ils la mènent, dont Landon, le père transforme chaque chose banale en mythe ou en chose extraordinaire. Comment il rend un évènement désagréable ou laid en quelque chose de beau. Cet homme, que la vie aurait dû rendre amer à force d'injustices est bon et rempli d'imagination et de ressources face à l'adversité. Betty entretient..[ suite sur https://blogapostrophe.wordpress.com/2021/07/14/betty-de-tiffany-mc-daniel/]
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