Je n'aime que les succès mondiaux en fait et ceux qui mériteraient de l'être, pas les nanars pourris, crevés, industriels.
Celui-là m'a fait rêver et continue de me faire rêver, tellement il fait appel à nos nobles et romantiques sentiments. Point besoin de raconter, tout le monde connaît, et si tel n'est pas le cas, il faut vite se dépêcher de lire :
Les Oiseaux se cachent pour mourir de Colleen Mac Cullough The thorn birds, 1977.
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