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Critique de isadelamoussiere
On connaît Rebecca, grâce à ses différentes adaptations au cinéma et à la télévision, la plus célèbre restant celle d'Alfred Hitchcock en 1940, seulement 2 ans après la parution du roman de Daphné du Maurier. Rebecca fait partie des 100 ouvrages les plus lus par les Anglo-Saxons, et occupe une des premières places au classement des meilleurs policiers de tous les temps, alors il me fallait le lire, et je ne regrette pas. Je ne savais pas trop à quoi m'attendre, et je n'ai pas été déçue.
Rebecca est morte et pourtant elle prend toute la place, elle est partout, à tel point qu'elle écrase la narratrice, dont on ne connaît finalement même pas le prénom.
La nouvelle épouse de Maxim de Winter, jeune et inexpérimentée, va petit à petit cerner qui était Rebecca, elle va essayer de comprendre la nervosité de son mari à son évocation, les cachotteries des domestiques. Sa présence invisible, mais perceptible et obsédante va intriguer la jeune épouse, elle va chercher à comprendre pourquoi le fantôme de Rebecca la poursuit et la hante. Puis le roman policier prend toute sa dimension, les raisons de la disparition de Rebecca seront bientôt révélées, mais je n'en dirai pas plus au risque de spoiler !
Pour moi qui ai vécu un peu en Angleterre, ce fut un réel plaisir de lire ce roman, qui décrit si bien la côte anglaise, ses criques et ses falaises, sa campagne verdoyante. Et que dire de Manderley, le manoir familial, qui est quasiment le protagoniste principal du roman, on devine l'attachement de l'autrice pour cette bâtisse mystérieuse. On ressent si bien l'atmosphère “so British” inexplicable si on ne l'a pas partagée un tant soit peu….
La lecture est fluide et facile, l'écriture est moderne et reste intemporelle. Je vous recommande ce roman, et je remercie au passage Gwen21, car c'est grâce au challenge BBC que je me suis intéressée à ce livre, et qui m'a permis de passer un bon moment de lecture !
Rebecca est morte et pourtant elle prend toute la place, elle est partout, à tel point qu'elle écrase la narratrice, dont on ne connaît finalement même pas le prénom.
La nouvelle épouse de Maxim de Winter, jeune et inexpérimentée, va petit à petit cerner qui était Rebecca, elle va essayer de comprendre la nervosité de son mari à son évocation, les cachotteries des domestiques. Sa présence invisible, mais perceptible et obsédante va intriguer la jeune épouse, elle va chercher à comprendre pourquoi le fantôme de Rebecca la poursuit et la hante. Puis le roman policier prend toute sa dimension, les raisons de la disparition de Rebecca seront bientôt révélées, mais je n'en dirai pas plus au risque de spoiler !
Pour moi qui ai vécu un peu en Angleterre, ce fut un réel plaisir de lire ce roman, qui décrit si bien la côte anglaise, ses criques et ses falaises, sa campagne verdoyante. Et que dire de Manderley, le manoir familial, qui est quasiment le protagoniste principal du roman, on devine l'attachement de l'autrice pour cette bâtisse mystérieuse. On ressent si bien l'atmosphère “so British” inexplicable si on ne l'a pas partagée un tant soit peu….
La lecture est fluide et facile, l'écriture est moderne et reste intemporelle. Je vous recommande ce roman, et je remercie au passage Gwen21, car c'est grâce au challenge BBC que je me suis intéressée à ce livre, et qui m'a permis de passer un bon moment de lecture !
