Suite de «
Les gens heureux lisent et boivent du café », ces nouveaux moments de la vie de Diane ont les même attraits et même regrets que dans le premier opus. Ici encore j'ai penché parfois vers le "quelle mièvrerie", souvent l'émotion m'a étreint. Rares sont les auteurs (es) capable de m'énerver comme
Agnès Martin-Lugand: à chaque fois, elle réussit à me prendre dans ses rets.
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