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Critique de Kenehan
Suite à la conclusion de la série télévisée, je me désespérais de voir les deux derniers tomes vierge de lecture. L'envie n'était plus là, remplacée par l'appréhension d'un ennui à lire du déjà-vu. En lutte perpétuelle pour épuiser ma PAL, j'ai fini par me fixer GoT comme objectif à parachever.
Rapidement, j'ai renoué avec cet univers où le complot, l'ambition et la duplicité sont les bases des relations sociales. Tout n'est que machinations et, au fond, peu importent les intentions, louables ou condamnables, égoïstes ou altruistes, le destin n'épargne personnes dans les Sept Couronnes.
Tout à tour Arya, Samwell, Cersei, Brienne, Jaime, Alayna (Sansa) et d'autres mêlent leurs voix pour que se meuvent les pièces d'un échiquier complexe. le roman se focalise essentiellement sur Westeros et, malgré les souvenirs encore prégnants, le récit passionne, ravit par tout les compléments et relance l'engouement originel. Et plus on avance, plus s'impose une question incontournable : quand sera publiée la conclusion littéraire ?
Rapidement, j'ai renoué avec cet univers où le complot, l'ambition et la duplicité sont les bases des relations sociales. Tout n'est que machinations et, au fond, peu importent les intentions, louables ou condamnables, égoïstes ou altruistes, le destin n'épargne personnes dans les Sept Couronnes.
Tout à tour Arya, Samwell, Cersei, Brienne, Jaime, Alayna (Sansa) et d'autres mêlent leurs voix pour que se meuvent les pièces d'un échiquier complexe. le roman se focalise essentiellement sur Westeros et, malgré les souvenirs encore prégnants, le récit passionne, ravit par tout les compléments et relance l'engouement originel. Et plus on avance, plus s'impose une question incontournable : quand sera publiée la conclusion littéraire ?
