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Critique de jainas
Après moultes recommandations venues de part et d'autre, je me suis finalement mis à la saga du Trône de Fer.
D'aucuns la qualifient de Rois Maudits de la fantasy et je dois avouer que la comparaison est plutôt bien trouvée : histoire captivante et retournements radicaux de situation, machinations et trahisons dans tous les sens, personnages hauts en couleur, adultères, tournois, osts en perditions, grandes familles qui se déchirent pour le royaume... sachant toutefois que l'aspect fantasy apporte une dimension très appréciable, notamment dans l'univers, avec ses saisons irrégulières et l'hiver qui s'en vient ainsi que la menace qui pèse au nord et que les protagonistes s'obstinent à ignorer pour mieux s'entredéchirer (de quoi s'arracher les cheveux de désespoir en les voyant faire...)
Si on compte en plus l'hécatombe qui touche les personnages (*se retient de hurler son incrédulité encore deux semaines après la lecture, histoire d'éviter de faire un énorme spoiler*) j'ai cru comprendre qu'elle était loin d'être finie... J'ai commencé la lecture en Espagne, où par un curieux hasard on était trois (sur cinq) à lire le Trône de Fer en même temps (plus un quatrième qui avait fini le tome un mais lisait quelque chose d'autre entre temps), et j'avais le droit aux exclamations catastrophées et aux assurances que si si, ça pouvait encore empirer, le tout en temps réel. ^^
C'était presque comme si au lieu d'être cinq, on avait eut en plus Martin, ou peut-être Ned Stark assis à notre table pendant le séjour. C'était... étrangement cool. :D
Après la lecture du premier tome en omnibus en vf je suis passé a la vo. (A noter que comme L'assassin Royal, le Trône de Fer souffre d'une tomaison totalement abusive en poche et/ou aux éditions pygmalions. Préférez largement la vo ou l'omnibus. )
D'aucuns la qualifient de Rois Maudits de la fantasy et je dois avouer que la comparaison est plutôt bien trouvée : histoire captivante et retournements radicaux de situation, machinations et trahisons dans tous les sens, personnages hauts en couleur, adultères, tournois, osts en perditions, grandes familles qui se déchirent pour le royaume... sachant toutefois que l'aspect fantasy apporte une dimension très appréciable, notamment dans l'univers, avec ses saisons irrégulières et l'hiver qui s'en vient ainsi que la menace qui pèse au nord et que les protagonistes s'obstinent à ignorer pour mieux s'entredéchirer (de quoi s'arracher les cheveux de désespoir en les voyant faire...)
Si on compte en plus l'hécatombe qui touche les personnages (*se retient de hurler son incrédulité encore deux semaines après la lecture, histoire d'éviter de faire un énorme spoiler*) j'ai cru comprendre qu'elle était loin d'être finie... J'ai commencé la lecture en Espagne, où par un curieux hasard on était trois (sur cinq) à lire le Trône de Fer en même temps (plus un quatrième qui avait fini le tome un mais lisait quelque chose d'autre entre temps), et j'avais le droit aux exclamations catastrophées et aux assurances que si si, ça pouvait encore empirer, le tout en temps réel. ^^
C'était presque comme si au lieu d'être cinq, on avait eut en plus Martin, ou peut-être Ned Stark assis à notre table pendant le séjour. C'était... étrangement cool. :D
Après la lecture du premier tome en omnibus en vf je suis passé a la vo. (A noter que comme L'assassin Royal, le Trône de Fer souffre d'une tomaison totalement abusive en poche et/ou aux éditions pygmalions. Préférez largement la vo ou l'omnibus. )
