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Critique de BazaR
J'ai bien failli abandonner la série Jhen avec cet épisode.
J'en ai tout simplement assez de voir ce Gilles de Rais toxique, qui ne contient pas son goût pour les jeunes garçons, ceux-ci finissant très mal quand notre noble a fini de prendre son pied. Et assez de voir que Jhen continue malgré tout à lui accorder son amitié, ne parvenant que rarement à limiter ses excès. Cela dure depuis trois albums.
Mais l'arrivée à Orléans de la cour de France apporte enfin de la nouveauté. Un Charles VII entre deux âges qui retrouve une jeunesse avec Agnès Sorel (les traits la montrent vraiment jeune mais pas du tout naïve), une Yolande d'Aragon qui manipule en coulisse, une jeune Dauphin Louis – futur Louis XI – qui s'entend peu avec son père et s'entraine déjà à comploter, Gilles de Rais en faisant les frais.
J'avais besoin de ce vent frais.
Jhen lui-même me déçoit. Il est plus spectateur qu'acteur, et ses tentatives diverses d'intervention se soldent la plupart du temps par des échecs. J'espère que cela va changer.
J'en ai tout simplement assez de voir ce Gilles de Rais toxique, qui ne contient pas son goût pour les jeunes garçons, ceux-ci finissant très mal quand notre noble a fini de prendre son pied. Et assez de voir que Jhen continue malgré tout à lui accorder son amitié, ne parvenant que rarement à limiter ses excès. Cela dure depuis trois albums.
Mais l'arrivée à Orléans de la cour de France apporte enfin de la nouveauté. Un Charles VII entre deux âges qui retrouve une jeunesse avec Agnès Sorel (les traits la montrent vraiment jeune mais pas du tout naïve), une Yolande d'Aragon qui manipule en coulisse, une jeune Dauphin Louis – futur Louis XI – qui s'entend peu avec son père et s'entraine déjà à comploter, Gilles de Rais en faisant les frais.
J'avais besoin de ce vent frais.
Jhen lui-même me déçoit. Il est plus spectateur qu'acteur, et ses tentatives diverses d'intervention se soldent la plupart du temps par des échecs. J'espère que cela va changer.
