Après avoir redécouvert
Margerin avec "je veux une Harley", j'ai retrouvé avec un grand plaisir Lucien et ses potes dans leurs mésaventures de banlieue. L'ambiance est légère et tendre, chaque personnage ressemble à une catastrophe ambulante aux préoccupations purement années 80. Chaque histoire fonctionne comme une mob qui sort de la révision et nous ravigote.
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