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Critique de platinegirl
[Extrait]
Je n'avais jamais entendu parler de la saga "The Agency" avant de découvrir son troisième tome dans un dossier de presse. J'ai hésité une seconde avant de demander à pouvoir le lire car non seulement chaque tome semble se reporter à une aventure distincte de son héroïne, Mary Quinn, mais, en plus, ce troisième tome se passe chez la reine d'Angleterre : il était fait pour moi !
J'avoue, j'ai eu un peu peur avant d'entamer cette lecture, peur de ne pas m'y retrouver en débarquant, avec mes grands chevaux, dans le troisième tome de cette saga. Et si je ne comprenais rien ? Et si je manquais des indices par manque d'info sur ses protagonistes ? Mes peurs ont vite été balayées par ce roman qui s'avère très facilement lisible : c'est de la littérature jeunesse (mais pas enfantine), on est là devant un roman qui se dévore comme on boit du petit lait. Les phrases se découvrent toutes seules, elles se succèdent avec facilité, elles forment des paragraphes et, sans s'en être aperçu, on a déjà avalé la moitié du roman ! J'aime cette accessibilité qui donne à la lecture ses lettres de noblesse : celles de la détente et du loisir pur et simple.
Lien : http://apologie-d-une-shoppi..
Je n'avais jamais entendu parler de la saga "The Agency" avant de découvrir son troisième tome dans un dossier de presse. J'ai hésité une seconde avant de demander à pouvoir le lire car non seulement chaque tome semble se reporter à une aventure distincte de son héroïne, Mary Quinn, mais, en plus, ce troisième tome se passe chez la reine d'Angleterre : il était fait pour moi !
J'avoue, j'ai eu un peu peur avant d'entamer cette lecture, peur de ne pas m'y retrouver en débarquant, avec mes grands chevaux, dans le troisième tome de cette saga. Et si je ne comprenais rien ? Et si je manquais des indices par manque d'info sur ses protagonistes ? Mes peurs ont vite été balayées par ce roman qui s'avère très facilement lisible : c'est de la littérature jeunesse (mais pas enfantine), on est là devant un roman qui se dévore comme on boit du petit lait. Les phrases se découvrent toutes seules, elles se succèdent avec facilité, elles forment des paragraphes et, sans s'en être aperçu, on a déjà avalé la moitié du roman ! J'aime cette accessibilité qui donne à la lecture ses lettres de noblesse : celles de la détente et du loisir pur et simple.
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