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Critique de Oli2020
Je n'ai pas été transportée par cette lecture... Et je le regrette.
C'est dur, quand l'histoire devrait être si touchante, quand on se rend compte de la large composante autobiographique, quand l'envie est si manifeste de nous apporter des émotions et surtout un réconfort face à ces drames.
Mais voilà, peut-être que l'envie était trop manifeste. Trop de feel good tue le feel good, avec quand ce sont 5 phrases par pages qui énoncent de belles morales ou de beaux sentiments, ça gave un peu. Je comprends et respecte profondément la nature thérapeutique de l'écriture de ce livre pour l'auteure, mais pour moi en tant que lectrice la mayonnaise n'a pas pris.
J'ai eu du mal aussi avec la trame de départ de l'histoire, cet homme qui rencontre cette jeune maman qui a l'âge d'être sa fille, et "l'adopte" presque instantanément, décide de l'inviter au resto, de l'emmener en vacances... Sans la moindre arrière pensée. Je m'en voulais de mes préjugés, mais je n'arrivais pas à y croire, ça allait trop vite, il y avait quand même trop de petits sous-entendus à la limite du flirt pour que cette relation soit 100% innocente, bref ça me mettait un peu mal à l'aise, et c'était surtout trop facile...
Enfin, j'ai été perturbée, mais sans doute dans le bon sens cette fois, par la rupture totale entre les deux parties de ce roman. C'est un choc, c'était totalement inattendu, et ça pour le coup ça illustrait assez bien le coup de tonnerre qui peut frapper une vie à tout moment, sans qu'on s'y attende et sans que rien ne le laisse présager. C'est assez rare dans un roman je trouve, cette histoire vraiment "à deux vitesses", si différentes entre la première et la deuxième moitié, et c'est sans doute le gros point positif que je retiendrai de ce livre.
C'est dur, quand l'histoire devrait être si touchante, quand on se rend compte de la large composante autobiographique, quand l'envie est si manifeste de nous apporter des émotions et surtout un réconfort face à ces drames.
Mais voilà, peut-être que l'envie était trop manifeste. Trop de feel good tue le feel good, avec quand ce sont 5 phrases par pages qui énoncent de belles morales ou de beaux sentiments, ça gave un peu. Je comprends et respecte profondément la nature thérapeutique de l'écriture de ce livre pour l'auteure, mais pour moi en tant que lectrice la mayonnaise n'a pas pris.
J'ai eu du mal aussi avec la trame de départ de l'histoire, cet homme qui rencontre cette jeune maman qui a l'âge d'être sa fille, et "l'adopte" presque instantanément, décide de l'inviter au resto, de l'emmener en vacances... Sans la moindre arrière pensée. Je m'en voulais de mes préjugés, mais je n'arrivais pas à y croire, ça allait trop vite, il y avait quand même trop de petits sous-entendus à la limite du flirt pour que cette relation soit 100% innocente, bref ça me mettait un peu mal à l'aise, et c'était surtout trop facile...
Enfin, j'ai été perturbée, mais sans doute dans le bon sens cette fois, par la rupture totale entre les deux parties de ce roman. C'est un choc, c'était totalement inattendu, et ça pour le coup ça illustrait assez bien le coup de tonnerre qui peut frapper une vie à tout moment, sans qu'on s'y attende et sans que rien ne le laisse présager. C'est assez rare dans un roman je trouve, cette histoire vraiment "à deux vitesses", si différentes entre la première et la deuxième moitié, et c'est sans doute le gros point positif que je retiendrai de ce livre.
