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Critique de Takalirsa
D'entrée de jeu j'ai trouvé l'héroïne agaçante. Tout semble lui sourire : elle est séduisante (c'est une « vraie blonde »), sportive et suffisamment riche pour s'acheter une maison en bord de mer à 750 000 € et investir dans un restaurant. Son installation, sa découverte du village, de ses habitants caricaturaux férus de ragots et empreints de jalousie : le début est creux et ennuyeux. On ne sait rien sur le passé de Catherine, notamment le divorce dont elle sort apparemment sans souffrance.
C'est un peu mieux par la suite, même s'il faut attendre cent pages pour qu'apparaisse la première faille laissant entrevoir un peu d'émotion, et presque la moitié du roman pour que survienne le meurtre. L'enquête tourne vite « à l'histoire de famille » car Locmaria est un milieu fermé où tout le monde se connaît. On se perd d'ailleurs dans les histoires personnelles sans intérêt et sans lien avec l'investigation.
L'ensemble est un peu trop léger à mon goût et ne me donne pas envie de lire la suite.
C'est un peu mieux par la suite, même s'il faut attendre cent pages pour qu'apparaisse la première faille laissant entrevoir un peu d'émotion, et presque la moitié du roman pour que survienne le meurtre. L'enquête tourne vite « à l'histoire de famille » car Locmaria est un milieu fermé où tout le monde se connaît. On se perd d'ailleurs dans les histoires personnelles sans intérêt et sans lien avec l'investigation.
L'ensemble est un peu trop léger à mon goût et ne me donne pas envie de lire la suite.
