Le lecteur navigue entre deux personnages. L'un a l'obsession du dodo, oiseaux exterminés par l'avidité de l'homme. L'autre est rongé par une maladie qui fait de ses jours une souffrance interminable.
Pour celui qui connait l'île Maurice, cela doit être très intéressant. Moi j'ai trouvé très pénible de vaguer ainsi de souffrance en souffrance, de déchéance en désespoir. Lourd, très lourd.
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