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Critique de bookheart
« Un Classique », me disait-on.
« Lis-le, tu vas adorer Lisbeth ».
« Lis-le tu vas t'éclater. »
Maintenant, je me demande pourquoi je ne l'ai pas lu avant.
Un Millénium est une nouvelle ère.
Un commencement.
Ici, peut-être que le titre du livre, le nom de ce journal n'a aucune signification, peut-être que ça ne veut rien dire.
Mais peut-être que ça veut dire quelque chose. Peut-être que c'est pour nous montrer que ce journal, Millénium, est le début d'une nouvelle vie pour nos personnages. Va savoir.
Mikael Blomkvist, stéréotype du beau brun ténébreux de la quarantaine, journaliste à Millénium voit sa vie basculer le jour où il perd un procès pour diffamation contre un magnat de l'économie suédoise.
Pourtant il a raison. On sent qu'il a raison.
Suite à ce procès Mikael accepte une proposition de Henrik Vanger, lui demandant de trouver l'assassin de sa nièce, 20 ans après sa disparition. En échange, Vanger lui promet de l'aider à détruire Wenneström (l'industriel).
Commence alors une enquête compliquée, qui stagne depuis plus de 20 ans, où l'on fera face aux plus horribles comportements de la race humaine.
En parallèle, Lisbeth Salanger, informaticienne de génie, se retrouve liée à l'affaire Mikael/Wennerström.
Cette jeune femme est une incarnation de la force. Une force de la Nature.
Je ne sais pas trop quoi dire d'autre. Elle est unique, iconique. En décalage avec tout ce que le monde connaît. Presque une pupille de l'État. Sous-tutelle depuis des années.
Elle ne rentre dans aucune cases.
Pendant près de la moitié du livre, on apprend simplement à la connaître, on essaye de comprendre son comportement.
Quand boum ! Rencontre avec Mikael. La Révélation.
Elle s'entend, sait communiquer un autre être humain sur Terre.
Leur relation est simple, comme une évidence. Je n'en dirai pas plus.
Globalement, ce roman est centré sur deux histoires, Wennerstöm et l'affaire Harriet Vanger.
La première durera dans les prochains tomes, on sent que ce n'est que le début.
Le mystère demeure, l'auteur ne nous fournit que des bribes d'indices au fil des pages.
Ce roman est violent, ça ne fait aucun doute, au début, c'est presque étonnant de sombrer dans cet univers noir. On se demande si on est vraiment en train de lire des trucs pareils, s'il est possible de se relever après tout ça. Lisbeth y arrive, force de la Nature je disais…
Petit détail qui m'a fait rire (et je ne semble pas être la seule), les personnages passent leur temps à acheter, boire, commander du café. Littéralement.
À mes yeux, ce livre est presque un chef d'oeuvre.
L'écriture de Stieg Larsson est juste incroyable. Il y a des tonnes de description - que ce soit dans le passé ou dans le présent – de pensées intérieures, mais on ne s'ennuie pas, jamais.
Personnellement, j'ai dévoré ces passages débordant d'informations.
J'ai dévoré le livre tout court.
Je conseille à 10 000 %.
C'est un impératif dans la liste de lecture de tout bon accro de littérature.
« Lis-le, tu vas adorer Lisbeth ».
« Lis-le tu vas t'éclater. »
Maintenant, je me demande pourquoi je ne l'ai pas lu avant.
Un Millénium est une nouvelle ère.
Un commencement.
Ici, peut-être que le titre du livre, le nom de ce journal n'a aucune signification, peut-être que ça ne veut rien dire.
Mais peut-être que ça veut dire quelque chose. Peut-être que c'est pour nous montrer que ce journal, Millénium, est le début d'une nouvelle vie pour nos personnages. Va savoir.
Mikael Blomkvist, stéréotype du beau brun ténébreux de la quarantaine, journaliste à Millénium voit sa vie basculer le jour où il perd un procès pour diffamation contre un magnat de l'économie suédoise.
Pourtant il a raison. On sent qu'il a raison.
Suite à ce procès Mikael accepte une proposition de Henrik Vanger, lui demandant de trouver l'assassin de sa nièce, 20 ans après sa disparition. En échange, Vanger lui promet de l'aider à détruire Wenneström (l'industriel).
Commence alors une enquête compliquée, qui stagne depuis plus de 20 ans, où l'on fera face aux plus horribles comportements de la race humaine.
En parallèle, Lisbeth Salanger, informaticienne de génie, se retrouve liée à l'affaire Mikael/Wennerström.
Cette jeune femme est une incarnation de la force. Une force de la Nature.
Je ne sais pas trop quoi dire d'autre. Elle est unique, iconique. En décalage avec tout ce que le monde connaît. Presque une pupille de l'État. Sous-tutelle depuis des années.
Elle ne rentre dans aucune cases.
Pendant près de la moitié du livre, on apprend simplement à la connaître, on essaye de comprendre son comportement.
Quand boum ! Rencontre avec Mikael. La Révélation.
Elle s'entend, sait communiquer un autre être humain sur Terre.
Leur relation est simple, comme une évidence. Je n'en dirai pas plus.
Globalement, ce roman est centré sur deux histoires, Wennerstöm et l'affaire Harriet Vanger.
La première durera dans les prochains tomes, on sent que ce n'est que le début.
Le mystère demeure, l'auteur ne nous fournit que des bribes d'indices au fil des pages.
Ce roman est violent, ça ne fait aucun doute, au début, c'est presque étonnant de sombrer dans cet univers noir. On se demande si on est vraiment en train de lire des trucs pareils, s'il est possible de se relever après tout ça. Lisbeth y arrive, force de la Nature je disais…
Petit détail qui m'a fait rire (et je ne semble pas être la seule), les personnages passent leur temps à acheter, boire, commander du café. Littéralement.
À mes yeux, ce livre est presque un chef d'oeuvre.
L'écriture de Stieg Larsson est juste incroyable. Il y a des tonnes de description - que ce soit dans le passé ou dans le présent – de pensées intérieures, mais on ne s'ennuie pas, jamais.
Personnellement, j'ai dévoré ces passages débordant d'informations.
J'ai dévoré le livre tout court.
Je conseille à 10 000 %.
C'est un impératif dans la liste de lecture de tout bon accro de littérature.
